Bien que tout le monde doive, au Québec, connaître le français et le parler, et que près de 95 % des Québécois déclarent pouvoir parler français, la STM pratique néanmoins l’exclusion et la discrimination à l’embauche en exigeant de ses candidats à l’emploi la connaissance de l’anglais pour y travailler, et ce, en plein territoire québécois et malgré qu’elle soit une institution publique québécoise.
Ces pratiques systématiques de discrimination et d’exclusion à l’embauche au sein de la STM, malheureusement répandues sur le marché du travail, privent plusieurs Québécoises et Québécois de la possibilité d’accéder à des postes au sein même des organismes publics et, conséquemment, de leur droit de travailler en français.
De plus, en exigeant la connaissance de l’anglais à l’embauche, la STM encourage le non-apprentissage du français, l’anglicisation par la bilinguisation du travail et, à titre de société publique, sert d’exemple dans la multiplication de cette pratique discriminatoire.
Dans l’offre d’emploi, vous pourrez lire que la STM exige que la personne candidate soit « bilingue (français et anglais) ».
Trop de gestionnaires anglolâtres préfèrent angliciser nos établissements plutôt que de créer les conditions qui favorisent l’apprentissage de la langue commune d’usage public au Québec, le français.
Adresse utile :
Page commentaire de la STM
http://www.stm.info/fr/infos/
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