Le Droit et ses « cold case »

« Le Droit aime bien se péter les bretelles… »

Ce matin, je découvre ce titre sur le site du Droit :

         « À Longueuil, un « cold case » vieux de 48 ans résolu grâce à l’ADN »

Pourquoi utiliser (encore une fois) un terme en anglais, cold case, quand on peut écrire dossier non résolu?

Le Droit aime bien se péter les bretelles pour faire valoir son appui indéfectible à la francophonie, mais de voir des termes en anglais sur votre site quand une version en français existe, j’ai de la difficulté avec cette attitude. Paresse linguistique?  Termes en français trop longs?  Termes pas assez accrocheurs à votre goût?

Allez, un petit effort supplémentaire.

Merci de considérer mon opinion à ce sujet.

Jean Poirier Alfred Ontario

Ancien député franco-ontarien, vice-président, Assemblée législative de l’Ontario
Ancien Chargé de mission, région des Amériques, Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF)
Ancien membre, Bureau de direction, Assemblée parlementaire de la Francophonie, Paris France
Ancien et premier président, Section du Parlement de l’Ontario, Assemblée parlementaire de la Francophonie
Ancien président, Assemblée de la francophonie de l’Ontario (anc. ACFO).

Commandeur, Ordre de la Pléiade, Assemblée parlementaire de la Francophonie
Officier, Ordre National du Mérite de France, secrétaire général, section du Canada
Médaille d’honneur, Sénat de la République française
Membre, Ordre des Francophones d’Amérique
Prix Séraphin-Marion et Médaille Bene Merenti de Patria, Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal
Prix Lyse-Daniels, Impératif français, Québec

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