
En effet, que des politiciens appuient, pire défendent et reconfirment, les noms de criminels pour désigner des lieux publics est purement honteux et scandaleux. Selon le président d’Impératif français, Jean-Paul Perreault, leur responsabilité n’est pas de justifier l’injustifiable, mais de corriger les erreurs historiques, de permettre aux citoyennes et citoyens d’aujourd’hui d’écrire fièrement le passé de leur avenir.

Nous n’avons pas besoin au Québec de lieux publics rendant hommage à des Moncton, des Philipp-Lenard*, des Alexis-Carrel*, des Colborne, des Amherst…

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Source :
Jean-Paul Perreault
Président
Impératif français
Recherche et communications