La solution : le réflexe naturel de ne parler que français

Seuls une aberration ou un relent de colonialisme…

 

Nous vous exhortons à repenser ou renforcer vos comportements. Dès que vous entendez à l’accueil ou au travail un mot d’anglais, développez le réflexe naturel de parler français. C’est plus qu’un droit; il s’agit aussi et surtout d’aider l’autre à apprendre la langue nationale et de travail du Québec et de se respecter et de se faire respecter.

Nous invitons l’ensemble des Québécois et Québécoises à gagner… et à vivre et à travailler, sans exception, partout et en tout temps, en français. Cette vision est le plaisir de vivre, de s’épanouir et de travailler en français au sein d’un État et d’une nation qui se distinguent et s’appuient, entre autres, sur le bon sens et sur des droits fondamentaux garantis par des lois; ceux de travailler, d’être reçu, servi et informé en français.

Sur près de huit millions d’habitants au Québec, à peine 4,4 %, soit 450 000, d’entre eux seulement ont déclaré être incapables de soutenir une conversation en français ! « Seuls une aberration ou un relent de colonialisme peuvent expliquer que l’on prive l’ensemble de la nation québécoise du bon sens et de ses droits fondamentaux pour accommoder ces quelques personnes qui auraient de toute façon avantage à apprendre la langue nationale commune d’usage public au Québec, le français », de dire le président d’Impératif français, Jean-Paul Perreault.

Le « mouvement Impératif français » et le bon sens vous demandent donc de parler français sans exception, partout et en tout temps… et encore plus et beaucoup plus au travail, dans les commerces et entreprises qui ne travaillent pas ou ne vous reçoivent pas en français!

Il devient ici évident qu’à sa façon l’exigence de l’anglais à l’embauche viole le droit de toutes les citoyennes et de tous les citoyens de vivre et de travailler en français au Québec. Elle est source de discrimination systémique et d’exclusion privant les travailleurs de leur droit. Par ailleurs, les articles 4 et 5 de la Charte de la langue française sont pourtant très clairs :

  • Les travailleurs ont le droit d’exercer leurs activités en français.
  • Les consommateurs de biens ou de services ont le droit d’être informés et servis en français.

« Travailler en français au Québec, c’est un droit et les employeurs ont le devoir de veiller à ce qu’il soit respecté », rappelle M. Perreault, « et les gouvernements doivent prendre leurs responsabilités pour que cessent ces pratiques systémiques de discrimination à l’embauche et en milieu de travail. Nous invitons les employeurs délinquants à réviser leurs pratiques de gestion et les syndicats et les employés, à se faire respecter, et les consommateurs à réclamer, sans exception, la normalité. Au Québec, l’accueil et le service doivent être en français en tout temps, sans avoir à le demander. Si ce n’est pas le cas, exigez-le. »

Il n’y a pas d’excuses possibles; des cours de français, il s’en donne depuis longtemps.

Mêlez-vous de vos affaires, mais mêlez- vous en!

Une nation qui se respecte ne peut accepter qu’une autre lui impose ses volontés, ici sa langue!

Nous vous invitons à diffuser sur toutes vos plateformes notre campagne « On gagne à travailler en français ».

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