« Ça fait 14 ans que je suis au Québec et je n’ai pas eu besoin d’apprendre le français » (Michael Rousseau, PDG d’Air Canada)
Nommer dans un poste de direction ou accepter ou offrir un poste en relation avec le public une personne incapable de parler français, c’est de la provocation, de l’arrogance, du mépris ou dit différemment : une « claque sur la gueule » du Québec et de la francophonie. C’est baveux !
Extrait de La Presse :« Le président et chef de la direction d’Air Canada, Michael Rousseau, (dont le salaire annuel serait de plus de 12,4 millions de dollars) avait promis d’apprendre le français à l’automne 2021 ». « L’entreprise n’a pas répondu aux questions de La Presse visant à en savoir davantage sur ces « niveaux de compétence ». Elle affirme ne pas avoir de « détails supplémentaires à partager » sur la « répartition individuelle » des compétences linguistiques de ses administrateurs. »
« Plus de deux ans après s’être engagé à apprendre le français après avoir déclenché une tempête linguistique, le président et chef de la direction d’Air Canada, Michael Rousseau, n’est pas encore considéré, par son employeur, comme un administrateur capable de s’exprimer avec aisance dans la langue de Molière. »