« Fragilise », dites-vous. Ce serait plus juste de dire « arrache » le français partout au Québec, et encore dramatiquement plus dans les régions de Montréal et de l’Outaouais !
« En tant que ville frontalière, Gatineau occupe une position unique, et nous avons un devoir collectif de protéger et de promouvoir notre langue dans tous les aspects de notre vie publique et professionnelle. Gatineau demeure une ville francophone, a-t-elle déclaré par courriel. Le constat d’une baisse de la pratique du français en milieu de travail est préoccupant. La vitalité du français est un enjeu fondamental pour Gatineau. Une citation de Maude Marquis-Bissonnette, mairesse de Gatineau
(Note d’Impératif français : en espérant plus qu’une simple déclaration politique)
De son côté, le directeur général d’Impératif français, Jean-Paul Perreault, rappelle que chaque personne au Québec a une obligation morale de travailler en français.
On n’a pas le choix. Le gouvernement canadien ne veut pas corriger la situation et il navigue là-dessus depuis de nombreuses années, sur cette vision de promotion du bilinguisme. Nonobstant l’endroit où cette promotion se fait, a lancé M. Perreault. » (Radio-Canada)
La suite en retirant les 3 z à : zzzhttps://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2116894/commissaire-langue-francais-recul-fonction-publique-federale