Toujours de mauvaise foi ? Les établissements publics anglophones, ici les universités de langue anglaise

Un Plan de réparation historique s’impose et pourquoi pas aussi des excuses !!

     

Lorsque les universités « québécoises » de langue anglaise utilisent, comme chantage, l’enseignement et l’apprentissage obligatoires de la langue française, langue commune et publique, pour se soustraire de leurs responsabilités en matière de rapprochement, de cohésion sociale et de respect de l’environnement culturel du Québec, il y a lieu de voir, dans cette prise de position une forte odeur arrogante et suprémaciste de refus et de rejet de l’identité québécoise.

L’Assemblée nationale ne doit pas tomber dans ce piège à cons.
Si le bon sens est écarté par les universités anglophones et ses recteurs, Québec doit alors l’imposer, le plus vite possible.L’encadrement légal et les politiques linguistiques de ces universités doivent exiger qu’entre 30 % à 50 % du parcours des programmes d’études soient consacrés à des cours de français et en français. Les universités qui ne respectent pas cette responsabilité sociale et environnementale doivent voir leurs subventions amputées de 30 à 50 %, selon le cas.

L’enseignement, l’apprentissage et la maîtrise du français au Québec, de la garderie à la fin des études universitaires, est un incontournable, non négociable, et cela, même pour les universités de langue anglaise.
Devant tant de mauvaise foi, le gouvernement du Québec doit intervenir et s’il le faut légiférer pour que la responsabilité sociale triomphe de cette obsession suprémaciste anglomane.

De plus le gouvernement doit sérieusement envisager la mise sur pied d’unPlan de réparation historique pour les universités québécoises de langue française afin de rattraper le retard dans le développement et la modernisation des programmes d’études, des laboratoires, des infrastructures et des chaires de recherche, retard causé surtout par le « sursursurfinancement discriminatoire » des universités « canadiennes » de langue anglaise au Québec.

Adresses utiles pour commentaires :
ministre@mlf.gouv.qc.ca;ministre_mes@mes.gouv.qc.ca

Source :
Jean-Paul Perreault
Président
Impératif français
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