Exclure la langue d’accueil de la langue de service, une invention « canadienne » de l’esprit, copier/coller par le Québec même !
Droits individuels : nous ne sommes pas des minoritaires pour avoir àquémander le service en français au Québec ! Dans trop de cas, le premier contact en anglais = tout le service en anglais, connaissant l’avancement de l’anglicisation et de l’érosion culturelle du Québec, le bilinguisme des francophones et l’unilinguisme béat ou de rejet des anglophones. La vigilance citoyenne est ici importante. Tout bon Québécois refusera de parler en anglais au Québec, le français étant la langue commune que tous doivent connaître. Des cours de français, il s’en donne ! Pas d’excuses!
Que le bon sens ! Au Québec, le service en français, lequel de toute évidence inclut l’accueil, doit être là en tout temps et en tout lieu, sans qu’il soit nécessaire de le demandeObligations des établissements : La distinction et l’interprétation de la Charte que l’OQLF fait entre la langue d’accueil et la langue de service n’a pas lieu d’exister puisque la langue dans laquelle est reçue le client fait de toute évidence partie du service ! De toute évidence ! Cette invention de l’esprit, la distinction entre accueil et service, ne sert qu’à renforcer la mentalité de minoritaire ou de « Canadiens français », au Québec, laissant l’obligation humiliante au client de « demander le service en français », alors qu’il devrait être là en tout temps. Déshonorant ! Rapetissant !
Un peuple qui se respecte ne peut s’écraser au point d’avoir à quêter, au Québec, le service dans sa langue. Il doit y être en tout temps! Pas besoin de se rendre en Ontario, une visite dans les grandes régions de l’Outaouais et de Montréal confirme que la langue d’accueil signifie très et trop souvent que tout se déroulera en anglais !
Les délinquants pullulent dans les grandes régions de Montréal, de l’Outaouais et de l’Estrie.Cette vision d’avoir à « quémander le service en français » au Québec confirme, qu’au-delà des mots de la Charte, elle inculque et multiplie la perception de minoritaires, de citoyens de 2e classe… et pour les entreprises, de « francophones de service » !
Il est paradoxal que l’OQLF retienne une interprétation des « droits linguistiques fondamentaux » qui exclut de la langue de service la langue dans laquelle est accueilli le client. Ne sont-ils pas « fondamentaux » !
Nous invitons le gouvernement, le Commissaire à la langue française, le ministère de la Langue française et l’OQLF à revisiter cette interprétation bidon ou artificielle de la Charte, et nous les remercions d’avance.
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