OTAN : Massacre de la langue de Molière

pour la transformer en simple moyen de communication !

 

 

L’OTAN s’engage pour le wokisme – « Manuel de l’OTAN sur le langage inclusif ». Mais où sont la France, le Canada, la Francophonie internationale… ?

« Il reste difficile d’admettre qu’une instance internationale, où le français est l’une des deux langues officielles, massacre ainsi impunément la langue de Molière pour la transformer en simple moyen de communication ! Il ne tient qu’à nous de défendre la beauté et la richesse du français, comme savent si bien le faire, de longue date, nos cousins québécois confrontés à l’impérialisme linguistique anglo-saxon. » (Johan Hardoy) La suite : https://www.polemia.com/lotan-sengage-pour-le-wokisme/

Lecture additionnelle : Tout savoir sur le langage inclusif, outil en faveur de l’égalité des genres

Extraits de : Parlez-vous l’Otanien inclusif ?

« L’anglais et le français possèdent des structures grammaticales différentes : « Au contraire de l’anglais, le français est une langue fortement marquée sur le plan du genre, que ce soit au niveau des articles (la/le), des pronoms (laquelle/lequel), des adjectifs possessifs ou démonstratifs (sa/son, celle/ celui) ou bien entendu des substantifs (directeur/directrice). »

Loin d’être rebutée par ces difficultés, la rédactrice britannique préconise les formulations en langue française désormais correctes au sein de l’organisation.

En voici quelques exemples plus ou moins savoureux [les commentaires entre crochets sont de notre cru] :

  • Éviter l’emploi du masculin générique (professeur, docteur, etc.) [Dans cette logique, mieux vaut éviter de dire « il pleut » ou « il fait beau » !].
  • Considérer que la masculinisation d’un titre n’est envisageable que dans les adresses directes (courriers), si la personne concernée en a expressément fait la demande [Il s’agit donc d’un privilège accordé aux femmes, qui peuvent choisir de se faire appeler « chef » ou « cheffe », par exemple].
  • « Les 30 000 femmes et hommes qui se battent en Afghanistan » est une formulation correcte, contrairement à « Les 30 000 hommes qui se battent en Afghanistan ». De même, il convient de dire ou d’écrire « Tous les soldats, femmes et hommes confondus, ont répondu par la négative à la question » [La règle du masculin qui l’emporte, qui équivaut implicitement à un genre neutre (sans égard au sexe) est donc réputée caduque].
  • « Le mandat des responsables de projet sera renouvelé automatiquement » est également correct, au contraire de « Le mandat des chargé(e)s de projet sera renouvelé automatiquement » [L’écriture inclusive elle-même est donc considérée comme porteuse de discrimination]. »
  • La suite à Parlez-vous l’Otanien inclusif ?

Adresse utile de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) pour commentaires et interventions : https://www.francophonie.org/contact/formulaire_contact

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