Ici, il n’est pas question de dévaloriser la connaissance d’autres langues, mais de l’usage que plusieurs en font.
Au Québec, le bilinguisme est « soustractif » ou si vous préférez, défrancisant ! Voir la définition suivante :
« Le bilinguisme soustractif désigne la situation où une personne apprend la deuxième langue au détriment de sa langue maternelle. Ces cas sont particulièrement fréquents là où la première langue est minoritaire. La maîtrise de la langue maternelle diminue à mesure que la maîtrise de l’autre augmente. »
Comment remédier au Québec à ce bilinguisme soustractif ou défrancisant ? C’est de parler français en tout temps, en tout lieu et en toute circonstance avec ses compatriotes de toutes origines et avec tous les établissements publics et privés, quels qu’ils soient! Sans exception !
Pour en savoir plus sur le bilinguisme soustractif : https://www.journaldemontreal.com/2020/08/18/entretien-avec-frederic-lacroix-sur-la-situation-du-francais