Nous sommes convaincus qu’une intervention de votre part auprès des universités et cégeps québécois pourrait faire toute la différence.
Pour ce faire, vous trouverez au lien suivant https://fedecegeps.ca/federation/a-propos/membres/ et https://www.quebec.ca/education/universite/etudier/liste-universites les adresses Internet et électroniques des cégeps et universités de votre région ou de l’ensemble du Québec auxquels nous vous invitons à écrire, à titre suggestif, ce qui suit :
Mesdames et messieurs
Conseil d’administration, rectorat ou direction générale
Objet : réparation historique et absolue priorité
Si le Québec veut véritablement assurer le statut du français comme langue commune, comme langue de travail, comme langue d’intégration de la diversité, nos cégeps et universités doivent préparer les générations actuelles et futures d’étudiantes et d’étudiants à vivre et à travailler en français.
Nous invitons donc les conseils d’administration et les directions générales de nos cégeps à appuyer par résolution publique l’esprit de la déclaration qui suit :
Au Québec, la langue officielle, c’est le français. La langue commune, c’est le français. La langue d’intégration, c’est le français. Alors pourquoi surfinance-t-on, à coups de centaines de millions de dollars, les cégeps et universités de langue anglaise où les étudiants et étudiantes – y compris des milliers de francophones et d’allophones – sont formés en anglais pour des milieux de travail qu’on veut français?
Nos impôts et nos taxes ne doivent pas favoriser l’anglicisation des études au Québec, et ne doivent surtout pas financer de façon disproportionnée les cégeps et universités de langue anglaise au moment même où le réseau d’enseignement en français mérite réparation historique et l’absolue priorité.
L’urgence de la situation rend les choix très clairs au collégial et au 1er cycle universitaire: faire du français la langue d’études pour tous, toutes, sinon appliquer intégralement la Loi 101.
Ensemble, on va plus loin,
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