« Avis au contribuable » ci-joint à imprimer et à distribuer généreusement
La loi est claire : les contribuables doivent payer leurs impôts dans leur province de résidence… Nous recevons plusieurs plaintes et commentaires de contribuables québécois furieux qui dénoncent tous ces Ontariens qui, bien que résidant au Québec, fraudent l’État pour ne pas payer leurs impôts au Québec, mais en Ontario ! Ce phénomène de fraude est observable au Québec, surtout à la frontière de l’Ontario, dans les régions et leurs alentours de Pointe-Fortune, Hudson, Vaudreuil, Grenville, Gatineau, Pontiac, La Sarre, Rouyn-Noranda…
Un grand vol pratiqué systématiquement ! Faites le calcul suivant avec nous : vous devez comme Québécois payer à leur place en utilisant un estimé faible de 10 000 fraudeurs x la valeur estimée du vol par fraudeur : 20 000 $, puisque ce sont surtout les riches voleurs à cravate qui pratiquent cette corruption = 200 millions de dollars par année x sur une courte période de 20 ans = 4 milliards de dollars ! Et c’est chacun d’entre nous qui payons dans ses impôts ceux de ces fraudeurs.
Un des indicateurs de l’ampleur systémique de cette fraude fiscale et de ce trafic identitaire est observable sur leurs véhicules lesquels, pour les besoins frauduleux de la cause, sont immatriculés en Ontario et dorment pourtant tous les soirs dans les entrées de cour de leur « vraie » résidence.
Ceci n’est nul autre que de la fraude fiscale qui oblige l’ensemble de tous les contribuables québécois de toutes les régions à payer ce manque à gagner à l’État dans leurs impôts, lesquels impôts nous payons déjà trop sans avoir à payer ceux de ces voleurs. Mais les autorités donnent l’impression de s’en moquer.
Il faut également savoir que cette fraude ontarienne est aussi désastreusement responsable des coupes à blanc : 1) naturelles qui saccagent à grande échelle les espaces verts, et 2) linguistiques, ces Ontariens étant pour la plupart incapables de parler le français imposent l’anglicisation systématique partout.
Les autorités publiques devront cesser d’être complices de cette corruption frontalière pourtant observable depuis fort longtemps et pour « aider » ces Ontariens qui ignorent la loi, nous avons préparé ci-joint un « Avis au contribuable » que nous invitons le public à imprimer et à distribuer sous la poignée de portière ou l’essuie-glace, côté conducteur, de ces véhicules immatriculés en Ontario.
Et aussi, pour être encore plus direct, vous pouvez leur demander, bien sûr en français : « Auriez-vous oublié de changer vos plaques d’immatriculation ontariennes ? »