Extrait de AMEQ en ligne, un portail d’informations et de ressources en éducation en emplois et en formation : « En fait, par sa pratique, en intégrant dans ses rangs près de 50 % d’étudiants non anglophones, c’est-à-dire des francophones et des allophones, le cégep Dawson est conduit à admettre chez lui plus d’étudiants que la limite de son devis pédagogique et ce qui est nécessaire pour satisfaire aux besoins de la communauté anglophone québécoise. Il contribue ainsi, beaucoup plus même que les autres cégeps anglophones, d’abord, dans un premier temps, à la bilinguisassion des francophones et des allophones, puis, à moyen terme, à leur anglicisation en les introduisant dans les réseaux anglophones des études supérieures. Ce qui conduira bon nombre d’entre eux, sans doute, à travailler par la suite en anglais et à vivre l’essentiel de leur vie professionnelle d’adulte en anglais.[…] Par le mode délinquant d’admission qu’il a choisi de pratiquer le cégep Dawson, tout comme les autres cégeps anglophones du Québec, contribue à l’anglicisation du Québec ».
La suite : DAWSON, UN COLLÈGE DÉLINQUANT? Texte d’opinion de Roch Tremblay, ancien directeur général du Collège Ahuntsic :