« C’est un pas dans la bonne direction. Je pense que le Québec dans sa personnalité internationale et sa géographie en Amérique du Nord a vraiment besoin d’un encadrement législatif très fort, non pas seulement pour protéger sa langue, mais aussi la faire rayonner. La langue, la culture, c’est ce qui nous distingue, qui fait de nous l’une des sociétés les plus avancées au monde. […] Mais nous aurions souhaité des mesures davantage musclées, par exemple en ce qui a trait à l’exigence de l’anglais à l’embauche ou lors d’une promotion, d’une mutation. Actuellement, c’est quasi du mur-à-mur et ça crée une anglicisation presque systématique du Québec », lance le président Impératif français, Jean-Paul Perrreault.
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