La toponymie encourage et honore de noms de lieux « publics » les violents et les criminels de guerre
Monsieur Patrick Paquette, Le Droit
Adresse utile : Dpaquettte@ledroit.com,
(pour faire suite à votre article dans le quotidien Le Droit dont l’hyperlien est donné ci-dessous), je trouve que votre attitude est malveillante. À mon point de vue, en votre qualité de chroniqueur vous manquez d’objectivité.
Pour vous, Nadeau et Perreault sont des personnes irraisonnées. Mais vous oubliez d’écrire qu’ils sont des personnes qui prennent la parole au nom de quelqu’un d’autre, d’une assemblée ou d’un groupe.

Il me semble que vous cherchez une revanche.
Et vous, dites-nous comment avez-vous réagi lorsque le nom de l’édifice Langevin a été remplacé. Pourtant, Hector-Louis Langevin n’avait qu’exécuté les ordres du premier ministre John A. Macdonald.
Et donc, que diriez-vous à quelqu’un qui voudrait suggérer de remplacer le nom de John A. Macdonald sur le pont qui enjambe la rivière des Outaouais.
Voyez comment la ville de Montréal a rendu hommage à l’héritage autochtone de la ville.
La rue Amherst devient la rue Atateken | Radio-Canada.ca
Vous êtes-vous demandé si la ville de Montréal a tenu un débat public.
Monsieur, quand on veut on peut, quand on peut on doit.
Pierre R. Gascon, LL.L, Gatineau (Québec)

Patrick Duquette cherche une revanche !?
La toponymie encourage et honore des noms de lieux « publics » les violents et les criminels de guerre
Le journaliste chroniqueur du quotidien Le Droit Patrick Duquette « cherche une revanche » et offre tout son appui au criminel de guerre aux visées génocidaires, AMHERST
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