Cette vision est celle à laquelle nous invitons tout le Québec, y compris les personnes qui viennent d’ailleurs, à adhérer. Il faut cesser d’inverser les responsabilités. Il appartient à tous ceux et celles qui vivent ou viennent vivre au Québec d’apprendre le français, la langue nationale, et non de réclamer l’anglicisation (la bilinguisation) de nos établissements publics et privés pour accommoder leur refus d’apprendre ou de parler le français. Ils n’ont pas d’excuses puisque des cours de français, il s’en donne et que le français est une belle langue qui s’apprend!
Les établissements québécois publics ou privés qui anglicisent (bilinguisent) leurs communications encouragent ainsi, à leur façon, le non-apprentissage du français isolant et rendant difficile, voire impossible, une pleine intégration des non-francophones.
Nous avons la chance d’ajouter à la démocratie culturelle en bâtissant une société différente en Amérique et dans le Monde! À nous d’y voir! Et un moyen efficace d’accompagner la diversité à bien vivre sa chance d’être québécoise, c’est de lui parler français en tout temps, mais encore plus aux anglophones et anglophones.