Dans la saga SLAV et Kanata, ce qui est le plus révoltant, au-delà des arguments manipulateurs des groupuscules d’opposants pour imposer leur censure contre les libertés d’expression et de création, c’est la pression sectaire ou mercantile de certains commanditaires et partenaires qui ont exigé l’abandon des représentations et des organisateurs et diffuseurs eux-mêmes qui s’y sont soumis. En s’écrasant, ils ont écrasé ces libertés essentielles à l’Art!
Il est faux de croire que le Québec et la francophonie accepteront la démagogie de groupuscules, les seuls vrais appropriateurs culturels, qui veulent se réserver le pouvoir et l’exclusivité de la création et de son expression qui traitent ici de l’esclavagisme et des Premières Nations. Demain, d’autres s’ajouteront!
Accepter cela, ce serait assujettir nos cerveaux à ce nouveau genre d’esclavagisme que dénoncent pourtant ces deux pièces de théâtre.
Nous réclamons le retour en force dans nos salles de spectacles de ces deux pièces de théâtre, mais encore plus du respect des libertés de création et d’expression contre l’occupation des cerveaux par le politiquement correct… incorrect! La censure!
Avant d’être des Blancs, nous sommes des humains!
Voici ce que spécifie la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles de l’UNESCO :
« Principe du respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales : La diversité culturelle ne peut être protégée et promue que si les droits de l’homme et les libertés fondamentales telles que la liberté d’expression, d’information et de communication, ainsi que la possibilité pour les individus de choisir les expressions culturelles, sont garantis… »
Note d’Impératif français
Nous vous invitons à communiquer avec vos élus et avec les gestionnaires de salles de spectacle pour leur demander d’inclure à leur programmation ces deux grandes pièces de théâtre.