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Définition du bilinguisme canadien et sa solution

Voilà pourquoi l’unilinguisme anglais pratiqué par près de 90 % des Canadiens anglais (aussi bien dire presque 100 % si on enlève les enfants) se porte si bien et que « progresse » l’anglicisation des francophones et allophones.

Saviez-vous que sur le plan de la connaissance des langues officielles canadiennes, selon Statistique Canada, l’unilinguisme anglais « progresse » de 2,6 millions de locuteurs tous les dix ans, alors que la connaissance unique du français par les francophones ne cesse, de son côté, de diminuer? Accommodement des unilingues anglais et bilinguisme (plutôt l’anglicisation) obligent!

Les gouvernements de tous les niveaux sont des complices proactifs de cette vision!

Donc, faute de solutions gouvernementales, il reste la solution citoyenne individuelle : refuser d’accommoder l’unilinguisme anglais en refusant de parler cette langue partout au Québec, mais encore plus, dans les grandes régions de Montréal, de l’Outaouais (et bien sûr, à Ottawa, la capitale du « bilinguisme »)!

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