Le Québec laissera-t-il couler encore un peu de sang de ses veines ? Ou se ressaisira-t-il avant qu’il ne soit trop tard ?
Au recensement de 2011, les anglophones comptaient pour 18 % de la population sur l’île de Montréal. D’après l’édition la plus récente des Statistiques de l’enseignement supérieur, en 2012 le cégep anglais y accaparait 36 % de l’effectif étudiant collégial à temps plein et à temps partiel. Au pré-universitaire, c’était 44 %.
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