Extrait du Devoir : « En catimini, l’Office québécois de la langue française (OQLF) a adopté plus tôt cette année une nouvelle Politique d’emprunts linguistiques tranchant avec celles qui guidaient l’organisme (…)
Contrairement à la France qui se complaît à adopter des mots anglais, le Québec a une longue tradition de résistance aux anglicismes. Avec sa nouvelle politique, l’OQLF s’engage sur une pente savonneuse alors qu’on assiste, au Québec comme ailleurs, à une vague d’anglicisation. »