Le français ne cesse de reculer. Il faut agir. Vous trouverez ci-dessous plusieurs bonnes raisons de participer à notre action.
Ce texte vous convaincra à quel point il est « impératif français » de se mobiliser, de se tenir, d’agir! Nous avons le droit, mais encore beaucoup plus, le goût d’offrir au Monde, de créer un état différent en Amérique du Nord, de développer notre avenir en français, d’ajouter à la démocratie culturelle mondiale, de rayonner…
Disons ensemble « non » à l’anglomanie, à l’anglicisation, à l’américanisation de l’Humanité, à la langue, la culture et la pensée uniques qui ne servent qu’à la promotion, l’enrichissement et l’avancement de l’anglosphère.
Nous vous avons fait parvenir récemment une invitation à renouveler votre adhésion ou à devenir membre et à appuyer notre mission pour l’avancement du français, de la francophonie et de la francisation en y investissant un don. Nous avons vraiment besoin de vous!
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Philippe Couillard est le chef Libéral et le premier ministre le plus anglomane qu’a connu le Québec!
https://www.facebook.com/imp.francais/videos/1494236893977543/
N’existe-t-il pas au Québec un ministre de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion? Mais les « first class citizens » en veulent plus! Les élections approchent! Le gouvernement Couillard officialise et encourage la bilinguisation et l’anglicisation du Québec en désignant au conseil des ministres une ministre responsable de l’anglicisation et en créant un secrétariat au sein du Conseil exécutif, la plus haute sphère du pouvoir au Québec, duquel relèvera spécifiquement cette mission anglicisante qu’il qualifie d’importante. Après tout, pour M. Couillard et son gouvernement, les English Speakers Québécois sont les « first class citizens » du Québec! Le premier ministre a donc créé le poste transversal de ministre « responsable » des Relations avec les Québécois de langue anglaise! De la pure discrimination. Il divise les Québécois! Nulle part dans son discours entourant le remaniement ministériel, n’a-t-il parlé de la nécessité pressante de faire progresser la protection et la promotion du français au Québec, à Montréal, en Outaouais, au travail… Silence radio!
Insatisfait de l’avancement de l’anglicisation du Québec, le gouvernement Couillard confirme, par cette restructuration ministérielle et cette nomination, sa volonté souvent exprimée:
- de ne pas agir pour contrer le recul du français confirmé par les recensements fédéraux, mais de mettre tout son poids pour angliciser davantage le Québec en créant un poste et un secrétariat dont la responsabilité serait l’anglicisation et en rendant ainsi inutile ou presque l’apprentissage du français;
- de faire bénéficier l’anglicisation de forces renouvelées en invitant les Canadiens anglais à venir ou revenir appuyer cette vision… sans jamais spécifier que le Québec est français;
- de permettre à la population anglophone qui représente moins de 8 % de la population totale du Québec de faire encore mieux dans le milieu universitaire, où elle ne recrute que près de 25 % de la clientèle totale universitaire québécoise et ne collecte que près de 30 % du financement universitaire;
- d’angliciser davantage la fonction publique québécoise en exigeant la connaissance de l’anglais à l’embauche pour accommoder une communauté dont certains membres refusent d’apprendre la langue commune d’usage public;
- de répandre partout la pratique et la priorité du « Press nine ;
- de veiller à ce que les transferts linguistiques vers l’anglais continuent d’avantager la communauté anglophone;
- d’accélérer l’imposition de l’anglais comme langue de travail dans le secteur privé :
- dans l’ensemble du Québec, la main-d’œuvre travaillant généralement en français dans les entreprises est passée de 70,8 % en 1989 à 59,7 % en 2010 !
- dans la région de Montréal, pour la même période, ce pourcentage a chuté sous la barre des 50 %, pour atteindre 44,4 %, et
- sur l’île de Montréal même, le pourcentage d’employées et employés dans les entreprises qui travaillent généralement en français est passé de 45,3 % en 1989 à 32,1 % en 2010. (Jacques Létourneau – Président de la CSN);
- d’universaliser l’exigence de l’anglais à l’embauche. (Par exemple, à Montréal, 40 % des petites et moyennes entreprises exigent la connaissance de l’anglais lors de l’embauche.)
Le gouvernement Couillard en veut plus et il prend les grands moyens. Philippe Couillard est le chef libéral et le premier ministre le plus « anglomane » qu’a connu le Québec! Tout son non-verbal exprime son aversion à l’endroit d’une nation qui pratique, selon lui, « la discrimination systémique et le racisme » au point où il envisageait très sérieusement de lancer une consultation publique sur le sujet!!!
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Adresse utile :
Kathleen Weil, ministre responsable des Relations avec les Québécois d’expression anglaise
ministre.sridaiministre@mce.gouv.qc.ca