Bonne nouvelle!
C’est fait!
Affaire Maclean’s: Andrew Potter quitte son poste de directeur à McGill
Directeur de « l’Institut d’études canadiennes » de l’Université McGill, Andrew Potter
Nous réclamons son congédiement ou sa démission.
Le président d’Impératif français, M. Jean-Paul Perreault, exprime son indignation quant à la façon dont l’université McGill ainsi que les autres organisations responsables (Maclean’s, etc.), ont permis au directeur de « l’Institut d’études canadiennes » de l’Université McGill, Andrew Potter, de tenir des propos insultants et grotesques à l’égard de tous les Québécois et Québécoises le 21 mars dernier dans les pages du magazine Maclean’s, sous son titre professionnel.

Selon M. Potter, le cafouillage de l’autoroute 13 a révélé combien la société québécoise était pathologiquement malade, animée par un individualisme forcené, marquée par l’absence de confiance et de solidarité entre ses citoyens, traînant en la matière loin derrière toutes les formes de vies humaines (les autres provinces canadiennes) vivant au Canada. Ouf !
De tels propos à teneur raciste tenus envers les Juifs, les noirs, les autochtones et les autres minorités issues de l’immigration auraient soulevé un tollé de colère et d’indignation.
M. Potter, qui est d’origine manitobaine et qui a fait carrière dans les médias canadiens anglais, dont l’Ottawa Citizen, vit à Montréal, dans « sa nouvelle communauté » d’adoption, communauté qu’il prétend connaître. À la lumière de ses écrits du 21 mars, nul ne sait comment !
Pour M. Perreault, M. Potter était indigne de son poste de directeur de « l’Institut d’études canadiennes » à l’Université McGill. « Il est d’ailleurs inconcevable, rappelle M. Perreault, que celle-ci l’ait maintenu en poste malgré le torrent de critiques qui s’est abattu sur lui après ses propos insultants et grotesques sur les Québécois. »
Nous réclamons son congédiement ou sa démission. L’embauche d’un nouveau directeur pour l’Institut doit lui restaurer la confiance dorénavant perdue dans sa gouvernance et dans celle de l’Université McGill qui tarde à en faire la preuve remettant depuis toujours des diplômes à plusieurs milliers de diplômés incapables de parler français.