rédigé pour Le Mot juste en anglais par Grant Hamilton, traducteur agréé, et propriétaire d’Anglocom, cabinet de traduction de Québec.
« Voilà, confessé pour vous cher lecteur, tout le sacrilège d’un Anglo-Québécois. »
« Quant à moi, je ne raisonne plus comme un anglophone. Quand on bafoue le Québec, on me bafoue. Je le sens dans les tripes. »
« Et plus encore, je me demande quel peuple peut se contenter d’être la province d’un autre peuple… »
« J’irai jusqu’à dire, d’ailleurs, qu’aucun Québécois ne renonce jamais tout à fait à la souveraineté. Nous avons tous dans notre poche une police d’assurance qui porte ce nom. Menacés, nous la sortirons. La mienne est là, je la sens. »
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