Le PLQ et la francisation? Politiques d’apartheid! 60% d’immigrants récalcitrants refusent la francisation et «soufflent sur les braises de l’intolérance» à l’endroit de la société d’accueil québécoise en péril, francophone et laïque
« Si le politicien échoue, qu’au moins il échoue en osant de grandes choses, de sorte que sa place ne soit jamais celle de ces âmes froides et timides qui ne connaissent ni la victoire, ni la défaite » -Theodore Roosevelt.
Québec lance une campagne de promotion du français auprès des immigrants. Québec tente d’attirer les immigrants vers la francisation. Le PLQ dit avoir été trop «passif»
«L’assimilation, sous le nouvel état de choses, se fera graduellement et sans secousse et sera d’autant plus prompte qu’on la laissera à son cours naturel et que les Canadiens français y seront conduits par leur propre intérêt, sans que leur amour-propre en soit trop blessé».
J’accuse le gouvernement libéral de politiques d’immigration allant à l’encore de la survie identitaire de la Nation québécoise. Citoyens québécois, n’êtes-vous pas indignés de la rectitude face aux politiques d’apartheid en immigration des gouvernements Charest-Couillard-Trudeau? Il doit y avoir obligation de suivre les cours de francisation. Il est un devoir pour les nouveaux arrivants de s’intégrer à leur société d’accueil québécoise, comme cela se voit partout ailleurs dans le monde…sauf au Québec! Et là où il y a austérité et compressions dans les programmes sociaux, en santé et en éducation, il doit y avoir aussi diminution du seuil déjà beaucoup trop élevé d’immigration qui ne s’Intègre pas à la culture de la Nation québécoise. C’est plutôt un devoir d’intégration pour les colonisés que nous sommes, notre poids politique diminué dans un multiculturalisme Trudeau génocidaire.
Lorsque nous nous offusquons de cette triste réalité, les politiciens fédéralistes font de la diffamation à notre endroit. Nous sommes des citoyens de second ordre, d’aspirer à la dignité et au respect. Nous réclamons la moindre bienséance qui consiste à s’intégrer à ceux qui accueille l’immigration. La passivité dont parle le gouvernement libéral est plutôt de la complaisance envers l’immigration intolérante à l’endroit de leur société d’accueil, sans oublier l’acharnement en compressions budgétaires pour sa population. Les élus libéraux connaissent la situation précaire de notre Nation et les reculs catastrophiques du français au Québec.
De 2010 à 2014, 100,000 nouveaux immigrants qui ne parlent pas français sont venus nous tenir tête en refusant de s’intégrer à la société d’accueil québécoise. Il nous faut dénoncer les politiques d’apartheid des gouvernements Couillard-Trudeau et leur complaisante béate à leur endroit. On culpabilise plutôt la société d’accueil québécoise.
En janvier dernier, on apprenait que les cours de français sont boudés par 60% des immigrants. Les libéraux s’en accommodent sciemment puisqu’ils font entrer leur électorat. Ce sont des politiques d’apartheid. Le seuil est beaucoup trop élevé depuis de trop nombreuses années. Philippe Couillard voulait pourtant augmenter le nombre de 10,000 immigrants cette année. Vous comprendrez qu’il fait entrer son électorat qui veut nous contraindre à l’intégration inversé du colonisé.
L’opposition s’insurge contre les coupes dans la francisation des enfants d’immigrants. Ceux d’entre nous qui s’en offusquent « soufflent sur les braises de l’intolérance », selon Philippe Couillard…Et non l’inverse. C’est le devoir d’intégration inversé du colonisé!!! Les libéraux s’en accommodent puisqu’ils font entrer leur électorat. Ce sont des politiques d’apartheid. Le Québec peine à retenir ses immigrants francophones.
Les immigrants irrespectueux envers leur société d’accueil et qui ne veulent pas se plier à la moindre bienveillance que celle de respecter les gens qui les ont accueillis, en suivant les cours de francisation financés par l’État québécois, doivent comprendre que nous sommes 2% de Francophones au Canada dans une mer de plus de 300 millions d’Anglophones, par conséquent, ceux qui s’obstinent à refuser l’intégration au français ont le choix d’une autre destination. Ils ne doivent plus recevoir d’aide gouvernementale sans obligation de francisation financée par l’État québécois. Au contraire, on accuse d’intolérance et racisme ceux qui aspire à ce qu’ils s’intègrent à notre société d’accueil francophone et laïque. On inculque la culpabilité à la société d’accueil, la victimisation de mise.
Aux yeux des politiciens fédéralistes canadiens, faudra-t-il exclure définitivement la Nation québécoise pour être suffisamment inclusifs? Le multiculturalisme Trudeau, un projet politique qui dilue et noie notre collectivité, le génocide culturel de la Nation québécoise qu’on ne peut plus nommer et défendre sans le spectre de la victimisation des adversaires de notre affranchissement, ceux qui nous infligent la culpabilité, la diffamation et discrimination. Le premier ministre Philippe Couillard n’exige pas de l’intégration de l’immigration au français mais souhaitait que les travailleurs québécois soient tous bilingues. Il n’est certainement pas un homme d’état, ni son prédécesseurs d’ailleurs.
Il semble même pénible pour les premiers ministres fédéralistes de parler de cette Nation qu’on ne reconnait même plus dans les amendements Trudeau-Chrétien de la constitution de 1982, réduite à une autre minorité au sein du Canada. Plus de 400 ans d’histoire réLes droits individuels du nouvel arrivant sont plus importants que ceux du peuple québécois qu’on ne nomme plus dans la loi fondamentale du Canada.
«Un peu de retenue et de clairvoyance, M. Couillard. S’inquiéter de l’avenir de la francophonie ne relève pas de l’intolérance.» -Gérard Bouchard – Titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les imaginaires collectifs de l’Université du Québec à Chicoutimi. Rapport Bouchard-Taylor.
Lettre à Philippe Couillard- L’actualité. On ne peut laisser entendre à tous les travailleurs du Québec qu’ils doivent être bilingues s’ils veulent un avenir. Ce serait retourner à la préhistoire linguistique.
Les langues qui n’ont pas d’État sont en très mauvaises postures. Dans ce document, on mentionne la situation précaire du Québec français en péril.
Couillard et ces nationalistes intolérants titrait Le Devoir. Selon Philippe Couillard, nous sommes tous des immigrants. La Nation québécoise, les Premières nations et Métis sont victimes de discrimination par omission. Près de 3 millions de Québécois auraient des origines autochtones beaucoup plus profondes qu’ils ne le croient, selon l’affirmation des Métis de la Gaspésie.
Ma mère est de la Nation des Algonquins et mon père des Micmacs. Nous sommes complètement coupés de nos racines ancestrales autochtones par la loi infâme des indiens du scélérat John A McDonald. Toujours en vigueur au Canada depuis 1876, cette loi raciste fût l’inspiration des politiques d’apartheid de l’Afrique du sud. Voilà la réalité canadienne, le colonialisme. Le film L’empreinte: le « grand tabou de l’histoire du Québec » est inclus à la fin de ce courriel.
COMITÉ SÉNATORIAL. http://www.parl.gc.ca/content/sen/committee/412%5CAPPA/51587-F.HTM
La meilleure manière de censurer quelqu’un : le traiter de raciste. Anglicisation du Québec.
« Presque tous les « immigrants Investisseurs » ignorent le français! Plus de 4 immigrants sur 10 au Québec ignorent le français. Entre 2010 et 2014, ce sont plus de 100 000 immigrants ignorant le français qui se sont installés au Québec. À ce rythme-là, en 25 ans, ce seront plus d’un demi million d’immigrants ne parlant pas français que le Québec aura accueilli. En 50 ans, un million! C’est cumulatif, multigénérationnel et exponentiel!
(Voir le tableau 1 à la page 9 des « Portraits statistiques – L’Immigration permanente au Québec, selon les catégories d’immigration et quelques composantes »)
C’est tout le Québec qui supporte ainsi l’érosion et la minorisation de sa langue et de sa culture. Mais cette situation est encore plus grave dans la grande région de Montréal puisque plus de 85 % des immigrants choisissent de s’y installer.
Juste dans la catégorie des « immigrants investisseurs », c’est-à-dire ceux et celles qui ont une grande influence sur la langue d’usage public, la langue de travail, de l’administration et des affaires, plus de 9 immigrants sur 10 dans ce groupe ignorent le français. Sur une brève période de cinq ans, entre 2010 et 2014, ce sont plus de 16 000 immigrants défrancisants (ignorant le français) qui auront « acheté » à 800 000 $ le droit d’immigrer ou si vous préférez le droit de défranciser le Québec. (Voir Tableau 9)
Toutes catégories confondues d’immigrants, ce sont plus de 4 immigrants sur 10 qui ne connaissent pas le français. Dans la catégorie des «immigrants investisseurs», ce sont 9 sur 10. Ils n’ont qu’à payer 800 000 $ et le tour est joué!
Est-ce ceci la vision d’« inclusion » du gouvernement et de Kathleen Weil, ministre de l’Immigration, de la diversité et de l’inclusion! » Adresse utile : cabinet@midi.gouv.qc.ca https://www.imperatif-francais.org/articles-imperatif-francais/articles-2016/presque-tous-les-immigrants-investisseurs-ignorent-le-francais/
J’avance dans l’envoi quelques chiffres révélateurs accablants en guise de références complémentaires sur les reculs du français au Québec et la méthode libérale pour avoir des votes! Suite aux compressions en francisation des immigrants et au laxisme gouvernemental à privilégier la connaissance du français, la situation est précaire, les reculs du français indéniables chez une Nation déjà en péril. Nos programmes sociaux et services publics subissaient les compressions au nom de l’austérité, mais jamais le seuil d’immigration beaucoup trop élevé, et qui ne s’intègre pas au français.
Le sociologue Mathieu Bock Côté répliquait avec justesse au premier ministre Philippe Couillard dans l’article « 60 000 immigrants? Rien n’arrête le gouvernement libéral, surtout pas la décence.» http://www.journaldemontreal.com/2016/03/10/60-000-immigrants
Dans cet envoi, j’énumère les reculs du français et je prends soin d’ajouter quelques commentaires de compatriotes issus de l’immigration, autant député, auteur et scientifique. Les premiers ministres Philippe Couillard et Justin Trudeau vont-t-il les qualifier d’intolérants, racistes et xénophobes? Boucar Diouf résume bien le faux humanisme des gouvernements Couillard-Trudeau:
Une image vaut mille mots !
La générosité variable « La décision d’ouvrir le Canada aux réfugiés syriens est donc avant tout politique et la présenter comme un simple geste de générosité est un peu tendancieux », constate l’auteur. Selon lui, l’intégration des immigrants au Canada implique une notion de compromis.
« Quand quelqu’un frappe à la porte, on lui dit bienvenue, mais on peut lui dire aussi : « Enlève tes chaussures » », dit-il.
« On ne peut pas être dans deux extrêmes et dire on va vivre ensemble, ça prend un déplacement des deux », ajoute-t-il.
Il qualifie dans son texte, le chef du Parti libéral Justin Trudeau d’« intégriste du multiculturalisme canadien ». Le débat sur le niqab a en outre permis de constater que la question préoccupe également le reste du Canada, souligne Diouf. « Pour avoir observé le multiculturalisme canadien depuis longtemps, chaque fois qu’il y a une petite bisbille, le Canada anglais dit : « Regardez le racisme des Québécois » – ce qu’on appelle le Québec bashing. Mais aujourd’hui, le chat est sorti du sac », dit-il.
Plaidoyer contre le repli identitaire
« …De façon quasi distante, Boucar Diouf a suivi les débats de la commission menée par Gérard Bouchard et Charles Taylor. Il en a accroché des bribes, suffisamment pour saisir que les Québécois possèdent une grande ouverture à l’autre.
Le travail d’adaptation, c’est justement là que ça se fait. Dans cet intérêt pour l’autre!» Une immigration réussie est celle où on se compose un nouveau réseau social et celle encore où les enfants d’immigrés nés ici cessent de dire qu’ils sont des Haïtiens, des Polonais, des Italiens, des Africains…» Dans ce questionnement sur l’identité, Boucar Diouf croit en la fierté de parler français et en la nécessité conséquente de renforcer absolument la loi 101 avant qu’elle ne se fissure. Son fils, descendant de grands-parents francophones du Sénégal et du Québec, y a droit malgré toutes les tentations de l’énorme «buffet anglophone».-Boucar Diouf
Il est temps de réduire les seuils d’immigration. Le gouvernement libéral a fait des compressions en éducation, dans les programmes sociaux de sa population, a diminué le financement aux Francophones dont nous cousins de France étudiant au Québec, et cesse l’aide gouvernementale pour la procréation assistée des Québécois, etc…Cependant, au service des anglophones et allophones qui consistent son électorat, le premier ministre Philippe Couillard osait prétendre qu’il est obligatoire d’augmenter l’immigration. Il n’a reçu aucun mandat du peuple en péril identitaire! En ces temps d’austérité pour les Québécois, Philippe Couillard avait l’intention d’augmenter le seuil de l’immigration déjà trop élevé de 10,000 par année, soit 60,000. Jamais ce gouvernement ne voudra légiférer puisque ces gens qui ne s’intègrent pas au français votent libéral et NON au référendum. C’est un stratagème pelquiste!
Il est question d’un ethnocide. Le premier ministre du Québec a choisi de nuire à la qualité de vie de ses concitoyens au nom de la dette abjecte de son prédécesseur libéral Jean Charest de 2003 à 2012, rapports du vérificateur général en référence pertinente. Endetter le peuple pour mieux l’assujettir.
En pleine austérité suite à la dette léguée par son prédécesseur libéral de 2003 à 2012, le gouvernement Couillard impose les compressions dans nos services sociaux, notre système d’éducation, laisse aller nos acquis de la révolution tranquille mais ils ont les finances pour relever le seuil de l’immigration que les compressions empêchent d’intégrer adéquatement. Pourquoi les mesures d’austérité ne pénalisent jamais le seuil d’immigration beaucoup trop élevé de citoyens qu’on n’arrive pas à intégrer. Selon une étude de l’Institut Fraser à l’automne 2013, l’immigration impose un fardeau fiscal de $20 milliards par année au Canadiens, dont $4 milliards aux Québécois.
Consultation publique sur l’immigration-La ministre Weil muette sur les reculs du français. On reconnait la méthode passive libérale:
- Lors de Consultations publiques sur l’immigration en février 2015, la ministre libérale Kathleen Weil était muette face aux constats de recul du français. Le gouvernement libéral n’est qu’au service de son électorat anglophone et allophone.
- En décembre 2014, le gouvernement de Philippe Couillard a assoupli en catimini les exigences de connaissance du français imposées aux immigrants qui font une demande de résidence permanente, exigences que le PQ avait haussées en 2013. Or les universités de langue anglaise les estiment encore trop contraignantes. Les universités anglophones et les gouvernements cultivent l’apartheid!
- Le PLQ faisait des compressions en francisation des immigrants malgré que le Québec ait connu une immigration record en 2010 – 54 000 arrivants, 21 % de plus qu’en 2006. En 2012, fini l’accès continu aux cours de francisation pour les nouveaux arrivants.
- Pendant que les institutions françaises étaient déchirées dans un conflit étudiants, les anglophones étaient aux études. L’ouvrage de Louis Préfontaine, Apartheid universitaire, dévoile combien la Nation québécoise finance son assimilation.
Le PLQ a une bonne relève. En 2014, les jeunes libéraux voulaient abolir les cégeps et accorder moins d’importance à la connaissance du français dans la sélection des immigrants.
L’AQF met la clef sous la porte.
L’Association Québec-France disparaît après 44 ans d’existence, faute de fonds 29 avril 2015 Christian Rioux – Correspondant à Paris Québec Le drapeau français ne flottera plus sur la place Royale à Québec. L’Association Québec-France (AQF) qui y avait son siège depuis des décennies fermera ses portes à compter du 30 juin. Avec la disparition de cette association fondée en 1971 (et qui est le pendant au Québec de l’Association France-Québec en France), c’est tout un pan de l’histoire des relations entre les sociétés civiles française et québécoise qui s’efface. « La relation citoyenne franco-québécoise que nous entretenons depuis plus de 45 ans grâce au réseau des associations Québec-France et France-Québec et à leurs milliers de membres bénévoles n’a visiblement plus de valeur aux yeux des gouvernements français et québécois (PLQ Couillard)», a déclaré amer le président de l’AQF, André Poulin, à l’issue du conseil d’administration extraordinaire tenu le 24 avril. http://www.ledevoir.com/politique/quebec/438598/la-fin-pour-l-association-quebec-france?utm_source=infolettre-2015-04-29&utm_medium=email&utm_campaign=infolettre-quotidienne
Autoportrait de l’immigrant en Québécois 30 janvier 2016 Livres. Akos Verboczy a aimé et adopté le Québec, écrit-il, grâce à Michel Chartrand, à Pierre Falardeau et à Bernard Émond, des modèles d’affirmation.
« Les Québécois francophones, continuent l’essayiste, doivent avoir une plus grande confiance dans la force et la richesse de leur culture, ils doivent cesser de se laisser intimider par la mentalité véhiculée par le slogan « tous immigrants », « une trouvaille à la mode qui dispense les immigrants de s’intégrer et qui sous-entend que les Québécois, descendants des colons français, ne sont pas vraiment chez eux, que leur culture en fait n’existe pas, donc qu’elle n’a aucune préséance sur les autres ».
Le premier obstacle à l’intégration des immigrants à la société québécoise se trouve justement, explique Verboczy, dans l’attitude méprisante envers la majorité francophone que cultivent les milieux anglophones et immigrants. Dans ces communautés de la prétendue diversité, le consensus veut que, «quand on n’est ni Québécois de souche ni idiot, on est contre la loi 101 et on vote Non». Et libéral…» http://www.ledevoir.com/culture/livres/461521/autoportrait-de-l-immigrant-en-quebecois
Le contrôle d’Ottawa sur l’immigration fait des Néo-Québécois des fédéralistes, estime Maka Kotto 21 mars 2015 Robert Dutrisac http://www.ledevoir.com/non-classe/435143/le-controle-d-ottawa-sur-l-immigration-fait-des-neo-quebecois-des-federalistes-estime-maka-kotto
Institut Fraser dans une étude de 2009:
« Depuis 1990, le taux annuel d’immigration du Canada est le plus élevé au monde, menant à une hausse de la population de 3,9 millions de personnes entre 1990 et 2006. Cette immigration massive a eu des conséquences profondes sur les conditions économiques, démographiques, sociales et politiques du Canada, nuisant au bien-être des Canadiens en général, y compris les immigrants des vagues précédentes », a affirmé Herbert Grubel, senior fellow de l’Institut Fraser et co-auteur du livre.
« Malheureusement, la plupart des Canadiens sont insuffisamment informés quant à ces conséquences en partie à cause d’un code de rectitude politique qui tend à associer au racisme tout examen des politiques d’immigration et également parce que le système électoral canadien récompense les politiciens qui appuient le taux élevé d’immigration actuel. »
Quatre milliards par année pour le privilège masochiste de se faire mépriser en pleine face. L’Institut Fraser a pondu un rapport en 2009 au sujet du seuil beaucoup trop élevé d’immigration au Québec et Canada, au détriment des programmes sociaux et services essentiels de la population actuelle! De 2010 à 2014, 100,000 nouveaux arrivants ne parlent pas français…votant PLQ et NON. Ils font entrer leur électorat libéral et fédéraliste. Le PLQ avoue avoir été passif? Le gouvernement libéral connaissait très bien les reculs du français au Québec et dans la métropole montréalaise. Le gouvernement Couillard était consciemment passif. C’est une autre astuce de leur plan B pour faire entrer leur électorat libéral inconditionnel et immuable. C’est leur munition contre l’indépendance du Québec. Les fédéralistes font entrer leur électorat pour assujettir définitivement les québécois au fédéralisme, faute de les convaincre par des politiques nationales inspirantes.
AUX CHEFS D’ÉTAT QUI DIVISENT POUR MIEUX RÉGNER
La politique de division -Boucar Diouf
Le projet de charte de la laïcité du Parti québécois a révélé un malaise qui était déjà, et depuis longtemps, bien profond dans la société québécoise. Un fossé qui a favorisé en partie l’élection de M. Couillard. Depuis, le premier ministre s’amuse à envoyer régulièrement ses adversaires au goulag social des sociétés multiculturelles en les campant dans l’intolérance et la xénophobie.
Pourtant, le chirurgien de talent en lui devrait savoir que bien avant la création d’emplois, le rôle d’un chef d’État, c’est d’abord de favoriser la cohésion sociale des gens qu’il gouverne en travaillant à fermer les plaies ouvertes plutôt que les rouvrir avec cette habilité langagière chirurgicale qui fait sa grande force.
Parce que M. Legault a osé questionner la décision du gouvernement d’augmenter de 10 000 le nombre d’immigrants que le Québec veut accueillir par année, M. Couillard a encore dégainé la mitraillette de l’intolérance en prenant à témoins les nouveaux arrivants qui écoutaient la télévision à la maison.
Comme expatrié, cette réaction de M. Couillard m’a particulièrement agacé sur le moment, mais lorsque mes chakras se sont réalignés, je me suis dit que ces nouveaux arrivants qu’il interpelait allaient aussi finir par se poser la même question.
Je me suis dit que ces nombreux immigrants qui fréquentent les banques alimentaires parce qu’ils ont vu leurs espoirs d’expatriés fondre comme neige au soleil finiront par se demander si ce projet d’augmentation de 10 000 personnes n’est pas plus politique qu’économique.
La politique étant ce qu’elle est, je dois ici préciser que le gouvernement de M. Couillard n’est pas le seul à jouer de façon partisane et électoraliste avec ce sujet sensible. La Coalition avenir Québec, le Parti québécois et Québec solidaire instrumentalisent aussi parfois à leur façon le dossier sur l’immigration à des fins partisanes. Mais force est d’admettre que celui qui le fait le plus est celui qui accuse les autres de le faire. Si 41 % des nouveaux immigrants ne parlent pas le français et 72 % de ces allophones ne suivent pas de cours de francisation, comme le dit M. Legault, il est absolument pertinent de tirer la sonnette d’alarme quant à l’effet à long terme, d’abord sur leur employabilité et ensuite sur la perte de vitesse de la francophonie dans la Belle Province.
Pourtant, visiblement, les questions portant sur l’identité ou la protection de la langue semblent parfois irriter le premier ministre Couillard au plus haut niveau. Pour quelle raison ? Je ne sais pas. Cependant, tout adversaire qui ose simplement se questionner sur le dossier identitaire et la protection de la langue provoque souvent chez lui un agacement qui semble remonter de très profond. Il monte alors en chaire et évite le débat en sermonnant l’autre de façon moralisatrice, l’accusant de pécher par intolérance.
La wedge politics, ou la politique de division, devenue très tendance, a ses limites et M. Harper, qui vient, de nous quitter, l’a appris à ses dépens. Il a été avalé par le fossé qu’il a passé beaucoup de temps à creuser entre ceux qui étaient vendus à ses idées et le reste de la population. Cette harpeurienne façon de faire, qui semble inspirer la rhétorique du premier ministre sur l’intolérance et la xénophobie des gens d’en face, provoque des déchirures irréparables et une frontière de plus en plus grande entre ceux qui arrivent et ceux qui sont montrés du doigt.
Laisser insidieusement croire aux nouveaux arrivants que le Québec est un repère d’intégristes de la langue française qui sont réfractaires à la différence est une triste façon d’élever un mur entre des entités qui gagneraient mutuellement à se tendre la main. Ce dont les immigrants ont surtout besoin en arrivant, c’est de structures d’accueil, d’intégration et de francisation efficaces pour favoriser leur intégration sociale et économique, mais surtout pas de se faire insuffler une peur des francophones québécois dit de « souche ».
Je crois que nous sommes nombreux à attendre de notre premier ministre qu’il soit plus une aiguille qui coud qu’un scalpel qui tranche. Or, en cherchant constamment à coincer ses adversaires sur ce sujet sensible, le premier ministre allume le brasier de la discorde tout en accusant les autres de souffler sur les braises de l’intolérance.
Au-delà du vivre ensemble Il y a des termes qui, une fois inventés, deviennent des dogmes que les politiciens répètent. C’est le cas de ce vivre ensemble qui semble aujourd’hui être la chose la plus importante dans les sociétés multiculturelles. Pourtant, à mon avis, le vivre ensemble est un concept aussi creux que cette mondialisation des cultures à laquelle on essaye de nous faire croire. (…) Le vivre ensemble fraternel se construit avec tous ceux qui ont le coeur à la bonne place pour oser franchir les premiers remparts qui les séparent de l’autre, jeter un pont vers cette personne et en faire un allié culturel et identitaire. C’est de cette seule façon que nous pourrons rêver d’un succès là ou l’Europe a échoué.
Un paradis fiscal pour les groupes religieux. (L’austérité pour les services aux citoyens, pendant que nos sièges sociaux fuient à l’étranger sous le gouvernement Couillard)
Depuis plus de cinq ans, le nombre de bâtiments qui jouissent d’une exemption de taxes a augmenté de 41 % à Montréal. Cela représente des pertes de 69 millions de dollars en taxes scolaires et municipales, pour la Ville. La valeur foncière des bâtiments exemptés de taxes a d’ailleurs augmenté de 62 % depuis cinq ans. Un paradis fiscal pour les groupes religieux. Réfugiés : le gouvernement canadien en redemande !
Montréal, Sherbrooke et Trois-Rivières accordent des avantages fiscaux de 500 000$ à deux piliers de l’infrastructure des Frères Musulmans au Québec http://www.journaldemontreal.com/2015/02/12/un-cadeau-fiscal-de-500-000–pour-deux-groupes-fondamentalistes
Pour une révision du financement public aux écoles confessionnelles
L’Institut Fraser propose d’axer sur l’emploi – ICI Radio-Canada.ca
Plus de bénéficiaires à Montréal | ICI.Radio-Canada.ca
Un paradis fiscal pour les groupes religieux Un État laïque doit-il accorder des privilèges fiscaux. NON!
Réfugiés : le gouvernement canadien en redemande ! Surprise : les Canadiens ne semblent pas aussi enthousiastes que leurs élites. http://www.bvoltaire.fr/andrearchimbaud/refugies-le-gouvernement-canadien-en-redemande,266506?mc_cid=1d63b90c77&mc_eid=de283a83e7
Attendez-vous à un référendum fédéraliste comme Charlottetown ou encore la signature du pacte coup d’État de 1982 sans consultation démocratique par référendum. L’essence de la démocratie est la volonté du peuple. Les fédéralistes craignent un référendum, par conséquent, ils ne consultent pas le peuple québécois et lui imposent le bâillon comme en 1982! Le passé est garant de l’avenir.
Selon ces pitoyables « démocrates », une majorité de 66% de québécois indépendantistes a un poids politiques inférieur à une minorité de 34% de citoyens en faveur du statu quo constitutionnel colonialiste. Nous serions donc des citoyens de second ordre. À l’encontre des règles démocratiques de l’ONU, soit 50% +1! Selon la loi ambiguë sur la clarté référendaire, le poids politiques d’une MAJORITÉ de 66% de Québécois indépendantistes est INFÉRIEUR à celui d’une MINORITÉ de 34% de fédéralistes, une entorse à la règle de l’ONU!
On devrait semble-t-il piler sur le corps de Philippe Couillard pour légiférer en matière de laïcité de l’État? Il devra piler sur les nôtres monsieur Couillard pour signer l’arnaque politique du siècle que représente le coup d’État constitutionnel de 1982.
Il faudra «me passer sur le corps», disiez-vous lorsqu’on voulait légiférer pour protéger notre société laïque de la régression. Il vous faudra vous aussi passer sur nos corps, monsieur Couillard, pour nous imposer des politiques pour lesquelles vous n’avez aucune légitimité et aucun mandat du peuple. Vous complotez de signer la constitution? Il vous faut poursuivre le plan B fédéraliste qui consiste à assimiler lentement ces irréductibles indépendantistes québécois? Nous vous prévenons que les fédéralistes ne referont pas au peuple québécois une autre arnaque politique comme en 1982. Des observateurs de la communauté internationale auront à l’œil le camp du NON.
Le premier ministre Philippe Couillard est au service de son seul électorat anglophone et allophone! Je vous invite à lire les répliques à Philippe Couillard et la ministre de l’immigration Kathleen Weill. Couillard accusait François Legault de souffler sur «les braises de l’intolérance.
L’improvisation des vertueux | AQAADI
La référence canadienne de Philippe Couillard | Le Devoir « J’ai beaucoup apprécié l’article de Robert Dutrisac, dans l’édition de samedi dernier du Devoir, qui traitait de la question des seuils d’immigration, et il m’apparaît que le paragraphe de conclusion mérite d’être approfondi : « Même si ces économistes prônent la prudence, le premier ministre a tranché pour une cible record. Ceux qui s’y opposent “soufflent sur les braises de l’intolérance”. Pierre Fortin avait fait observer que les députés de l’Assemblée nationale étaient “naturellement portés à combattre la perception, répandue dans les autres provinces, selon laquelle les Québécois forment une nation chauvine, xénophobe, voire raciste”. François Legault doit se demander si, au fond, Philippe Couillard ne partage pas cette perception bien canadienne. » (« Couillard et ces nationalistes intolérants », 12 mars 2016)… »
Politique d’immigration
Québec met en avant les avantages d’accueillir plus d’immigrants
Et l’intégration?
Un ensemble fragile
Le Québec peine à retenir ses immigrants francophones.
Seuils d’immigration – Au-delà des chiffres | Le Devoir
Cri du cœur d’une école de francisation
Il est temps de réduire les seuils d’immigration.
Le français langue commune: enjeu de la société québécoise. (Document de 1995, sous les politiques linguistiques nationales du parti québécois)
Le Canada, « une nation » selon Justin Trudeau. Le premier ministre parlait d’une seule nation au Canada, en omettant les Premières Nations, les Acadiens et le Premier Peuple fondateur du Canada qui a un passé riche de plus de 400 ans!
Le Québec reconnu comme nation – Une motion sans conséquence juridique avouait Ottawa. Selon les amendements Trudeau-Chrétien de 1982, nous ne représentons plus un peuple ni une nation. Voila la réalité.
Reconnaissance de la nation québécoise : Trudeau tient un double discours. Il semble irrité à l’idée que ce sujet de la Nation québécoise soit à l’ordre du jour, ajoutant qu’il ne pouvait « pas croire qu’on est encore en train de parler de ça ». Le sujet est sur la table depuis la signature de la constitution canadienne en 1867 et les amendements Trudeau-Chrétien en 1982. Il y manque toujours la reconnaissance de la nation québécoise et notre signature.
Les indépendantistes québécois qui refusent cette subordination et cet état de colonisé ont droit à leur liberté de conscience et dignité. Des 22 revendications du Rapport Allaire aux 5 demandes minimales de Meech pour réintégrer la constitution, le peuple québécois devrait se résigner lamentablement à une reconnaissance symbolique de leur Nation non enchâssée dans la constitution, une coquille vide?
L’historien Frédéric Bastien auteur de La bataille de Londres avait raison de qualifier le premier ministre du Québec Philippe Couillard le cocu content.
La reconnaissance bidon de la Nation québécoise qui n’est plus reconnue dans les amendements Trudeau-Chrétien de 1982, n’octroie aucun pouvoir, cela ne protège en rien la spécificité de la culture québécoise, sa langue.
Au prochain rendez-vous référendaire, des observateurs de l’ONU encadreront le référendum pour rassurer la population afin que ne se produise plus jamais les magouilles de 1995 par le camp du NON, dignes du scandale des commandites par le PLC avec l’argent de nos impôts! Définitivement, les indépendantistes québécois n’ont aucune leçon démocratique à recevoir des adeptes du statu quo colonialiste canadien.
Lionel Groulx, Le Devoir, 3 nov.1937. «Le terme indépendance fait trembler les esprits foncièrement colonisés. Que de pauvres gens émasculés de tout sens national, habitués à encaisser les affronts comme d’autres les récompenses, les coups de pied comme d’autres les caresses, se permettent de trouver ces griefs de peu d’importance, après tout, libre à eux, mais pour l’amour du ciel, qu’ils n’essaient pas d’imposer leur tempérament d’esclaves à ceux qui ont une autre notion de la liberté, de la dignité et de la fierté.»
Les violations par le Canada des droits politiques des Québécois Gilles Rhéaume, Métis MSQ 9.00 – Mémoire déposé à l’ONU et adressé à tous les démocrates
http://canadalibre.ca/2015/02/08/en-memoire-de-gilles-rheaume-les-violations-par-le-canada-des-droits-politiques-des-quebecois/
Le Québec doit accueillir 10 000 immigrants de plus par année, tranchait Philippe Couillard. Et c’est nous qui sommes racistes selon monsieur Couillard!!! La volonté de toujours inculquer la culpabilité à vos compatriotes et leur faire courber l’échine est misérable. C’est un ethnocide à la longue monsieur Couillard, on le voit par toutes vos compressions en francisation et par votre laxisme à défendre votre Nation en péril.
$4 milliards de dollars de fonds publics des Québécois en immigration pour se faire mépriser en pleine face par des nouveaux arrivants qui refusent de s’intégrer et nous méprisent. On appelle cela de la mauvaise foi libérale, de la complicité, de la haute trahison.
Votre désinvolture est déconcertante, à banaliser la précarité de notre Nation que vous défendez du bout des lèvres, pourvu que cela n’ait aucune incidence sur le statu quo réducteur actuel. Que dire de votre hargne envers ceux qui s’indignent de vos politiques anti démocratiques et défendent la langue française en péril au Québec! Il faut être soit déconnecté de la réalité, soit d’une insensibilité épouvantable. Il est tout de même incroyable de se faire qualifier de racistes par un chef d’État aux allures dictatoriales avec ses projets de loi arbitraires et pour lesquels il n’a reçu aucun mandat du peuple. Cet homme d’État n’est qu’au service de son électorat anglophone et allophone et les contributeurs de son parti.
Vous permettez ainsi la victimisation accrue des fondamentalistes et la haine de votre propre Nation!
«Depuis 1763, nous n’avons plus d’histoire, sinon celle, par réfraction, que nos conquérants veulent bien nous laisser vivre, pour nous calmer. Cette tâche leur est d’autant plus facile que nous sécrétons nos propres bourreaux» -Léon Dion «Le libéralisme du statu quo: l’idéologie protectrice» 1960.
Il faudra «me passer sur le corps», disiez-vous lorsqu’on voulait légiférer pour protéger notre société de la régression. Il vous faudra vous aussi passer sur nos corps, monsieur Couillard, pour nous imposer des politiques pour lesquelles vous n’avez aucune légitimité et aucun mandat du peuple. Vous complotez de signer la constitution, mais pour cela, il vous faut poursuivre le plan B fédéraliste qui consiste à assimiler lentement ces irréductibles indépendantistes québécois. Nous vous prévenons que vous ne nous referez pas une autre arnaque politique.
LA VRAIE NATURE COLONIALISTE DU CANADA
« Au sein de cette majorité dominante, on se drape dans le langage des droits pour bilinguiser le Québec et ainsi empêcher la minorité que nous sommes, à l’échelle de l’Amérique du Nord, de prendre tous les moyens nécessaires pour accueillir les nouveaux arrivants en leur transmettant la langue française qui est au coeur de notre identité. » Louise Beaudoin – députée du PQ- source.
Mathieu Bock-Côté à RVM : Sommes-nous tous des immigrants. Finalement, nous ne sommes rien? | Le Journal de Montréal
L’Église pratique le racisme ! Des excuses officielles et réparations s’imposent Gatineau, le 8 juillet 2016 – Le 22 février 2016, la première ministre de l’Ontario, Kathleen Wynne, a présenté aux Franco-Ontariens des regrets très officiels pour l’imposition en 1912 du Règlement 17, ayant eu pour effet d’interdire l’enseignement en français dans la province après la deuxième année du primaire. L’application de ce règlement ethnocidaire a été suspendue en 1927, mais ses séquelles se font toujours sentir aujourd’hui dans l’ensemble de la collectivité francophone de l’Ontario mais au Québec également https://www.imperatif-francais.org/articles-imperatif-francais/articles-2016/leglise-pratique-le-racisme/
Demandez au premier ministre Philippe Couillard de se comporter à l’avenir comme un chef d’État et de cesser de faire de la diffamation à l’endroit des indépendantistes québécois qui ont une alternative au statu quo colonialiste canadien de 1982 auquel les fédéralistes se résignent lamentablement, un coup d’État et la violation de la séparation des pouvoirs est à l’origine du Canada multiculturaliste de Trudeau. Ils tolèrent cette injustice depuis 1982. Les politiciens fédéralistes banalisent nos revendications argumentées et notre droit légitime à la vérité, la liberté de conscience et dignité. La censure, la propagande et le révisionnisme sont à la démocratie ce que la violence est à la dictature.
Lorraine Dubé, Métis
Au Canada on aime bien parler de société de droit et avancer faussement que tous les citoyens sont égaux. Les premiers ministres du Québec et Canada, Philippe Couillard et Justin Trudeau, honoreront l’an prochain un de leurs pairs John A McDonald, qu’ils considèrent le père de la Confédération canadienne, qui en réalité est une fédération.
Dans un acte de révisionnisme indécent et pathétique, comme seule la vraie nature colonialiste du Canada le permet, on occulte lentement la Nation québécoise et son histoire nationale mais on persiste à rendre hommage à l’homme qui a instauré les politiques génocidaires des Autochtones et Francophones du Canada. On impose ce mépris aux Francophones et Premières Nations. McDonald est l’instigateur de la loi des Indiens toujours en vigueur au Canada depuis 1876 et que personne des politiciens fédéralistes ne veut abroger. Cette loi fut l’Inspiration des politiques d’apartheid de l’Afrique du sud! De l’autre côté, le premier ministre canadien Justin Trudeau réintègre dans la famille canadienne et redonne leur citoyenneté à des fondamentalistes coupables de crimes au Canada…
Un bref aperçu. Au Canada on refuse aux citoyens la transparence, et on méprise l’unanimité de notre Assemblée nationale à réclamer la vérité et le droit à la mémoire. le Canada refuse de dévoiler les renvois et documents constitutionnels et la loi fondamentale du pays. Au Canada, la vie d’une femme autochtone a moins de poids que le voile politique d’une femme musulmane endoctrinée.
«Riel shall hang though every dog in Québec bark in his favour.» – Une citation de John A. Macdonald (1815 – 1891), père fondateur de la confédération canadienne. www.sinistrejohna2015.ca
1890-Manitoba Official Language Act. Loi sur la langue officielle déclarée inconstitutionnelle après 90 ans de ravage, un génocide culturel. 90 ans de suppressions des droits linguistiques des Francophones malgré 78 commissions scolaires francophones en 1870 et le fait que les français étaient majoritaires sur le territoire manitobain. Interdiction du français en Ontario- Règlement 17.
Au Canada, la censure et le révisionnisme sont de mise dans l’histoire nationale:
Une lecture essentielle pour comprendre le Canada : La destruction des Indiens des Plaines-Maladies, famines organisées et disparition du mode de vie autochtone-La politique ethnocidaire du gouvernement canadien. https://www.pulaval.com/produit/la-disparition-des-indiens-des-plaines-maladies-famines-organisees-fin-du-mode-de-vie-autochtone
Autre mission pour Trudeau : expurger le racisme bien ancré à la GRC:
http://www.theglobeandmail.com/globe-debate/without-accountability-how-will-the-rcmp-ever-expunge-racism/article27845022/
Jugement de la cause Caron-Boutet: « Un peu comme une seconde pendaison pour Louis Riel » – Maxime Laporte Montréal, le 20 novembre 2015 – La Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) de Montréal dénonce le tout récent jugement majoritaire de la Cour suprême rejetant l’appel de Caron et Boutet.
Au sujet de l’AANB:
La meilleure preuve en est que ni l’acte lui-même (et pourtant chaque pays a l’original de sa constitution), ni une copie vidimée ne fut jamais déposée ni devant le parlement pour acceptation, ni même dans les archives du Dominion…
Inclus, un extrait de lettre de Mackenzie King à Maurice Duplessis, le 15 juillet 1943, etc…
Un bref extrait de la traduction du livre de Rodgers Smith:
«….page 32 Les minutes des assemblées où on rédigea l’AANB ne furent jamais publiées.»
« Attendu que les provinces du Canada, de la nouvelles écosse et du Nouveau-Brunswick ont exprimé le désir d’être fédéralement réunies en un seul Dominion »
Quel subterfuge! Quand on sait, suivant un principe établi de droit, que le préambule est la partie la plus importante d’une acte. Ce qu’exprimait le préambule initial était, était de créer une union fédérale, y compris l’administration exclusive des affaires d’intérêts communs, chaque province gardant son indépendance et autonomie. Les provinces du Canada ou leurs représentants n’ont jamais délégué, par entente, aucun pouvoir à un gouvernement central, condition sine qua non d’une constitution dans ce genre.
L’AANB n’a jamais pu être valide comme constitution. Et d’abord, ce n’est pas une constitution. Une constitution doit rencontrer les vue des intéressés, mais non pas sombrer dans le labyrinthe des intérêts étrangers qui s’en servent comme d’un paravent à leurs ambitions. Cet acte est seulement un projet de loi privé. Opposition rigoureuse!!!
Douteux agissements de la politique en coulisse, créatures du gouvernement britannique, on ne peut pas dire que ces messieurs représentent le peuple canadien…Ces illégalités ont déjà été dévoilées sur le parquet de la chambre. Les très honorables n’y ont pas répondu. Ils ont cependant admis qu’aucune réponse ni réfutation ne peuvent être faite à cette question de monsieur Walter F. Khull, député de Jasper Edson.
Et maintenant, si on compare la vérité des faits, à l’emprise du gouvernement sur les écoles, les universités, les publications et la presse, on n’est pas surpris d’apprendre que cet état de choses est voulu et organisé, puisque le gouvernement de la Grande-Bretagne paie 1,200 L sterling, soit $5,700 dollars annuellement, un fonctionnaire qui a pour rôle de faire disparaitre des archives, tout ce que le peuple ne devrait pas savoir sur certains sujets, dans l’intérêt des politiciens professionnels….On a enseigné toute sorte de chose au canadiens, on leur a dit que l’AANB était un contrat bilatéral, un accord confédéral, une constitution. Tel n’est pas le cas On s’est servi de l’AANB pour gouverner le Canada…Page 38 Qu’est notre parlement canadien?…»
Se retrouve également dans les archives, « Débats de la Chambre des Communes 1938, Volume 1, pp. 350-355; Volume 3, pp. 2234-2249).
Quel est notre parlement canadien: «….L’acte d’Amérique du nord britannique est une loi dérivant d’un projet de loi privé du parlement anglais qui n’a jamais été et ne pouvait être acceptée, qui n’avaient aucune autorité constitutionnelle pour le faire.
La meilleure preuve en est que ni l’acte lui-même (et pourtant chaque pays a l’original de sa constitution), ni une copie vidimée ne fut jamais déposée ni devant le parlement pour acceptation, ni même dans les archives du Dominion (avant les Débats de 1938). Et le Dr. Kenny archiviste en chef, en a fait l’admission, sous serment, devant l’honorable juge en chef Gustave Perreault, lors du procès de R Rodgers Smith à Montréal en 1942… Les membres élus de cette législature ont juré allégeance à un roi qui abdiqua…
Les très honorables dirigent toujours par la division du peuple, en groupements de partisannerie politique organisés au bénéfice et à la solde des intérêts financiers qui les financent au Canada, au détriment du peuple canadien…» http://vho.org/aaargh/fran/livres7/LAMBERTsortir.pdf
L’EMPREINTE: le « grand tabou de l’histoire du Québec »
Retrouver la trace « Les Français sont nos cousins, les Amérindiens sont nos frères. […] on a occupé le territoire, tranquillement, avec eux… ce qui n’a jamais existé ailleurs dans le monde. » – Roy Dupuis
À la recherche de nos racines -La loi des Indiens est un signal de la persécution historique qui perdure. Le sort lamentable des Autochtones n’est pas réglé par une commission qui ne regarde pas en face le passé et la propagande entretenue par Ottawa. Je veux mettre de l’avant le sort des enfants, des femmes, des communautés victimes de racisme dans une perspective historique. J’ai préparé une lettre aux signataires que je dois peaufiner. Difficile car j’ai du mal à retirer des informations ou paragraphes. Je ne veux surtout pas que la communauté internationale se contente d’une commission bidon faite à l’intérieur des frontières du Canada. Cette pétition internationale réclamant une enquête onusienne doit rester en ligne.
À travers des entrevues avec des historiens et des Amérindiens, le comédien Roy Dupuis explore l’identité québécoise et tente de démontrer qu’elle est le fruit d’un important métissage culturel avec les Premières Nations. Jamais nommée, longtemps niée, cette influence serait toujours manifeste et visible dans les caractéristiques les plus fondamentales du peuple québécois. Ainsi, l’accent mis sur le collectif, le souci d’égalité, le « vivre et laisser vivre », la recherche du consensus, seraient des valeurs héritées des autochtones. Le film tente de démontrer que ces valeurs se répercutent dans le mode de fonctionnement de toutes nos organisations et jusque dans l’appareil juridique.
Par divers témoignages, le nouveau long métrage documentaire de Carole Poliquin et Yvan Dubuc L’empreinte retrace et nomme les valeurs, idées et principes qui ont fondé la société québécoise d’aujourd’hui, empruntés et hérités des peuples autochtones fondateurs.
Bien que certains remettaient en question à nouveau, récemment, l’héritage «indien» que les réalisateurs Yvan Dubuc et Carole Poliquin mettent de l’avant dans leur plus récent documentaire, L’empreinte, ces derniers foncent tête bien haute pour faire un premier pas dans la documentation et la valorisation des emprunts aux nations autochtones dans un passé pas si lointain qu’il n’y paraît. Selon les réalisateurs, ce que nous sommes ne peut être expliqué par seules les racines françaises ou l’immersion anglo-saxonne dans laquelle nous vivons.
Au Québec, le sujet autochtone est quelque chose qui est encore trop souvent reçu avec indifférence ou mépris. Pour les réalisateurs, comme pour Roy Dupuis, il s’agit là d’un tabou. Après la Conquête, être considéré comme «sauvage» était un danger, les Acadiens étaient déportés, et les Canadiens ont trahi leurs frères indiens avec qui ils avaient créé une nouvelle société en Amérique.
«Si les Français sont nos cousins, les Amérindiens sont nos frères, insiste Roy Dupuis. Mais on a été beaucoup plus influencés que ce qu’on s’est raconté, que ce qu’on a écrit. Pour différentes raisons. De nouveaux maîtres arrivent avec de nouvelles façons de faire. L’alliance de départ, elle prend fin avec la Conquête. C’est un nouveau contrat et on se retrouve chacun de notre bord, séparés. Et nos élites ensuite nous ont trahis, elles ont réécrit l’histoire en fonction du pouvoir établi. On a trahi une partie de nous-mêmes. J’ai fait une dizaine d’années de psychanalyse et c’est clair qu’à partir du moment où tu trahis quelque chose qui est proche de toi, la blessure est beaucoup plus grande que si tu trahis un inconnu. C’est clair que tu essaies de t’éloigner de cette douleur.» http://rvcq.quebeccinema.ca/films/l-empreinte
Contact Carole Poliquin Les productions ISCA carolepoliquin@yahoo.fr https://www.facebook.com/filmLempreinte?fref=ts
L’empreinte : le « grand tabou de l’histoire du Québec » Isabelle Hontebeyrie dimanche 8 mars http://vigile.net/L-empreinte-le-grand-tabou-de-lhttps://voir.ca/fiches/film/lempreinte/ http://lamaisonducinema.com/film/lempreinte/
https://www.youtube.com/watch?v=pRYg7cP1RQM
Pour découvrir l’entrevue de Roy Dupuis à Tout le monde en parle suivez ce lien : «L’Empreinte» avec Roy Dupuis: le documentaire bientôt en salle (VIDÉO) http://quebec.huffingtonpost.ca/2015/02/24/empreinte-roy-dupuis-en-salle-documentaire-video_n_6743990.html
Autour de «L’empreinte» Et si les Québécois tenaient plusieurs de leurs différences des premiers liens avec les autochtones… 7 mars 2015 http://www.ledevoir.com/culture/cinema/433680/autour-de-l-empreinte
Le documentaire «L’empreinte» veut inviter aux réconciliations 20 juin 2015 Le Devoir Télévision http://www.ledevoir.com/culture/television/443021/le-documentaire-l-empreinte-veut-inviter-aux-reconciliations
http://fr.canoe.ca/divertissement/cinema/critiques/archives/2015/03/20150309-135402.html
http://tcheva06.com/2015/03/13/le-documentaire-lempreinte-lindien-dans-lidentite-quebecoise/
http://fr.canoe.ca/divertissement/cinema/nouvelles/archives/2015/03/20150304-145244.html
Vidéos http://www.pauline-julien.com/evenement/842/
Visitez le site web de L’EMPREINTE à www.lempreinte.quebec
Archives http://www.cinemaclock.com/films/l-empreinte-2015/videos
Si toutes les municipalités offraient à leurs nouveaux arrivants un exemplaire du livre de Boucar Diouf, le Québec s’en porterait mieux ! Carole Beaulieu L’actualité jeudi 27 mars 2008 http://www.vigile.net/Boucar-le-Quebecois
Le « Québec bashing » à coup d’oléoduc.
Dans les nuages à l’abri du fisc J’ai surtout compris pourquoi l’État providence est aujourd’hui critiqué et méprisé comme s’il était la source de tous nos maux. Quand les politiciens nous disent que notre panier de services est trop lourd, on devrait être nombreux à répondre que c’est normal parce que les plus forts ne veulent plus pousser
Le souffle de soulagement du marsouin blanc.
INFOLETTRE http://mirror.mesopinions.com/?e=contact@mesopinions.com&s=4787&b=34
FACEBOOK https://www.facebook.com/mesopinions/posts/10152486671558481
La pouponnière de nos bélugas est menacée par la construction d’un terminal pétrolier à Cacouna: sauvons-les !
Victoire à Cacouna. https://www.facebook.com/mesopinions/photos/a.10150109603398481.271334.362787738480/10152855145173481/?type=1&theater
PÉTITION NATURE QUÉBEC: SAUVONS NOS BÉLUGAS http://www.sauvonsnosbelugas.com/
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Source :
Pierre Demers
pierre.demers@lisulf.quebec