La réforme du Sénat par la nomination d’un unilingue anglais à la présidence!
Par la nomination d’un président du Sénat, George Furey, incapable de parler français, le parlement canadien vient une fois de plus de manifester son mépris à l’endroit du Canada, de la francophonie et du Québec. Cette fois-ci, c’est le Parti libéral qui le confirme. Plus ça change, plus c’est pareil!
Pays membre de la francophonie internationale, le Canada, qui déclare partout avoir le français comme langue officielle, ne cesse de témoigner éloquemment de son hypocrisie chaque fois qu’il nomme à un poste public des gens incapables de parler français ou si peu. Les preuves de cette hypocrisie sont abondantes et révélatrices.
Le suprémacisme anglophone et les pratiques d’exclusion trouvent leur expression, entre autres, dans les nombreuses nominations de juges, sénateurs, ministres, sous-ministres, secrétaires parlementaires, hauts fonctionnaires, chefs de parti politique, et aujourd’hui même au poste de président du Sénat, tous incapables de parler français, pourtant langue officielle du pays.
Source :
Jean-Paul Perreault
Président
Impératif français
Par la nomination d’un président du Sénat, George Furey, incapable de parler français, le parlement canadien vient une fois de plus de manifester son mépris à l’endroit du Canada, de la francophonie et du Québec. Cette fois-ci, c’est le Parti libéral qui le confirme. Plus ça change, plus c’est pareil!
Pays membre de la francophonie internationale, le Canada, qui déclare partout avoir le français comme langue officielle, ne cesse de témoigner éloquemment de son hypocrisie chaque fois qu’il nomme à un poste public des gens incapables de parler français ou si peu. Les preuves de cette hypocrisie sont abondantes et révélatrices.
Le suprémacisme anglophone et les pratiques d’exclusion trouvent leur expression, entre autres, dans les nombreuses nominations de juges, sénateurs, ministres, sous-ministres, secrétaires parlementaires, hauts fonctionnaires, chefs de parti politique, et aujourd’hui même au poste de président du Sénat, tous incapables de parler français, pourtant langue officielle du pays.
Source :
Jean-Paul Perreault
Président
Impératif français