Jean-Paul Perreault d’Impératif français estime que la juge Karen Kear-Jodoin n’aurait même jamais dû envisager rendre un jugement en anglais au Québec.
La langue de la justice québécoise doit être nul autre que le français, soutiennent deux organismes dans la foulée de la plainte disciplinaire contre un avocat ayant demandé la traduction d’un jugement rendu en anglais.
«On interpelle la ministre responsable de la protection de la langue française et nous demandons que la langue française redevienne la langue de la législation québécoise et du système judiciaire», a déclaré le président général de la Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) de Montréal, Me Maxime Laporte, en conférence de presse hier.
«Le bon sens exige que les jugements rendus par tous les tribunaux du Québec soient en français, sans écarter la possibilité qu’ils puissent être traduits dans une ou deux autres langues, sur demande», a renchéri le président d’Impératif français, Jean-Paul Perreault.
La suite : http://www.journaldemontreal.com/2015/04/17/justice-quebecoise–la-langue-doit-etre-nul-autre-que-le-francais
La langue de la justice québécoise doit être nul autre que le français, soutiennent deux organismes dans la foulée de la plainte disciplinaire contre un avocat ayant demandé la traduction d’un jugement rendu en anglais.
«On interpelle la ministre responsable de la protection de la langue française et nous demandons que la langue française redevienne la langue de la législation québécoise et du système judiciaire», a déclaré le président général de la Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) de Montréal, Me Maxime Laporte, en conférence de presse hier.
«Le bon sens exige que les jugements rendus par tous les tribunaux du Québec soient en français, sans écarter la possibilité qu’ils puissent être traduits dans une ou deux autres langues, sur demande», a renchéri le président d’Impératif français, Jean-Paul Perreault.
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