par Charles Castonguay
Luc Plamondon a raison. Le français dégringole au Québec. Et pas rien qu’un peu. Le recul est plus général que ne le laisse entendre la solution mise de l’avant par M. Pierre Curzi.
Dès leur première diffusion, les résultats du recensement de 2006 ont suscité de l’émotion. Partout le poids de la majorité de langue maternelle française passait sous des seuils psychologiques.
Il glissait en dessous de 80 % de la population du Québec, sous les deux tiers dans la région métropolitaine de Montréal et sous le seuil de 50 % dans l’île.
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