Monsieur Horne,
shorne@hornetranslations.com
Comme vous, je suis un anglophone sidéré par ces propos exagérés par l’auteur
dudit article dans The Economist : WE ARE TOUS QUÉBÉCOIS
La plupart des anglophones du Québec ont encore beaucoup de chemin à faire
pour être vraiment intégrés dans la société québécoise.
Mes parents résidents dans la région de Mansonville et Knowlton et ils ne
parlent pas français car les francophones colonisés du coin leur parlent
automatiquement en anglais, sans vergogne!
Pour moi, un Québec français est celui où tout le monde est capable de parler
français. C’est sûr que je suis d’accord avec l’apprentissage d’autres idiomes
mais pas au détriment de la langue de la majorité!
En passant, que pensez-vous du mauvais parler français employé par un grand
nombre de Québécois? On a l’impression que tous ces efforts de francisation, par
exemple dans le domaine de l’automobile, est en vain. Ex. Un ami à moi qui
réfuse de parler de essuie-glace, parce que c’est trop pédant!
Bonne journée,
Jeffrey George
jeffrey.george@sympatico.ca
(Le 17 janvier 2005)