NDLR – Rien dans la réponse ci-dessous du Commissariat
aux langues officielles ne garantit le respect de la Charte de la langue
française au Québec!
Monsieur Pierre Denault
PaysanP@aol.com
Monsieur,
Au nom de Mme Dyane Adam, la commissaire aux langues officielles, jaccuse
réception de la copie de votre courriel du 6 août adressée à M. Paul McGee du
journal The Equity, et qui traite du bilinguisme dans la région dOttawa
et de louest du Québec.
Comme vous le mentionnez dans le courriel, la commissaire a signalé
lexistence de difficultés linguistiques dans les services au public de la part
dentreprises commerciales situées dans des immeubles fédéraux et sur des
terrains appartenant au gouvernement dans la région de la capitale nationale. Il
pouvait sagir de restaurants, de détaillants ou de diverses entreprises offrant
des services variés au public. Les difficultés observées se rapportaient
principalement au manque de services en français de la part des locataires
commerciaux situés à Ottawa. La commissaire a recommandé entre autres que les
institutions fédérales insèrent une clause linguistique dans les baux quelles
signent avec les entreprises en question et voient soigneusement à leur
application.
La commissaire a publié ses constats dans une étude récente intitulée à
louer – Services bilingues recherchés dans les commerces des édifices fédéraux
de la région de la capitale nationale, que vous pouvez consulter en visitant
notre site Web à ladresse
www.ocol-clo.gc.ca .
Je vous remercie de votre intérêt à légard des langues officielles.
Au nom de
JoAnn Myer
Directrice générale
Politiques et communications
johanne.galipeau@OCOL-CLO.GC.CA
(Le 24 décembre 2004)