LA LANGUE FRANçAISE PARIA
Europe – Comment l’Union européenne interprète le respect des peuples.
L’argent avilit….L’Union Européenne son bras droit fidèle ou "comment
l’Union interprète le respect des peuples"
Voici comment les tenants de "l’anglophonie über alles" attaquent : sous
couvert de liberté d’expression et, ici, de libre
circulation des marchandises (voir document). Car il ne fait pas de doute que ce
sont les grandes sociétés privées (pour faire
des économies substantielles et mieux pénétrer le marché) aidés par la
législation conservatrice unilingue qui sont à l’origine de cela.
On rappellera que la France a bien voulu que l’Anglais soit langue de travail en
Europe avec le Français (première langue
européenne depuis des siècles) et que, naturellement, égalité soit de mise avec
les autres langues. Mais on sait que les
Anglophones purs et durs, une fois dans la place, éliminent toute autre langue,
"impérialisent".
La langue française comme langue culturelle internationale, c’est le respect de
toutes les langues. L’Anglais, c’est le
monolinguisme, imposé qui plus est, appuyé par des gouvernements de lavettes ou
des corrompus du monde politique ou
des affaires, ainsi que le désintérêt (par manque d’information, on peut
supposer) des peuples rendus amorphes ou qui
avalent tout parce que, selon leurs propres mots "qu’est-ce qu’on peut y faire".
Songeant à leurs carrières respectives, tous les
gens constituant ainsi l’élite (élite ne voulant pas dire "êtres intelligents et
sensés" mais "ceux qui ont le pouvoir") laissent
s’écouler lentement le sel de la terre. Ces impuissants ou futurs impuissants
laisseront ainsi libre les thèses dites
nationalistes et oppressives de s’accaparer le pouvoir légitimement par leur
laxisme, croyant soigner le mal par le mal.
Défendre sa langue et la nation (ce qu’elle véhicule en France, à savoir,
liberté fraternité égalité (en principe)), ce n’est pas être
chauvin, ni extrêmiste, c’est plutôt reconnaître que chaque peuple (ainsi que
ceux, d’origine diverse, l’ayant intégré) a conçu des
manières de vivre, s’est doté de structures qui, pour la France, sont uniques
dans beaucoup de domaines (ce qui prouve que
la libre circulation des marchandises est une ânerie puisque c’est la
concurrence entre des pays n’ayant pas le même
système social, les mêmes charges…). Comme à l’image des fromages au lait crus
(!!!), un temps menacés par l’Union
Européenne, qui prépare le despotisme des Trusts (tant au niveau de la culture
que du respect de la faune, de la flore et les
ressources naturelles de manière générale), la France, comme tous les autres
pays qui ont encore une âme, se doit de réagir
avec force (c’est-à-dire faire valoir son opposition simple et définitive) à
toute chose qui oeuvrerait à un gigantesque concept
mondial inique et destructeur. Dans trois ans, je réitère mes propos, il sera
trop tard. Combattre ou mourir (violemment oul
entement), c’est aujourd’hui la seule alternative que nous ayons tous. Les
discussions stériles et les propositions négatives
qui sont ressorties des compromis ont vécu.
S’il y en a que cela fait rire, sachez que le rire est le propre de l’homme,
certes, mais que l’autodestruction est aussi dans sa
nature. Et nous vivons continuellement sur des volcans en sommeil.
La langue constitue le premier véhicule de la diversité culturelle. ôtez celà
et ce seront des pans entiers de l’Histoire de
l’Humanité qui disparaîtront.
PS : Pardonnez moi mon style empreint d’un certain lyrisme, mais c’est tout
de même mieux que de ne pas réagir. Qu’importe
la manière !
l’article est du 29/07/2002, paru dans le journal "le progrès", France.