UN POUR TOUS, TOUS POUR UN
Bataille linguistique en Suisse : la cohésion nationale en jeu
L’anglais avant le francais?
Ruth Dreifus écrit: Non. Je donne raison à ma collègue genevoise
Brunschwig-Graf, qui dit quon ne gouverne pas pour faire plaisir à ceux qui
vous le demandent.
Voila une façon gaullienne d’agir.
Voir:
L’initiative Berberat et Ruth Dreifus
http://dossiers.edicom.ch/24h/0106/html/di2006ch.html
«Apprendre à lécole langlais, avant le«français ou lallemand,
est-ce une
question à laquelle on donne trop dimportance? »
«Utiliser largument fédéraliste pour laisser les cantons affaiblir
lenseignement des langues nationales nest pas admissible. La compétence
des
cantons, en matière denseignement obligatoire, ninclut pas celle de
piétiner les mécanismes subtiles qui entretiennent les relations des Suisses
entre eux et qui font la solidité du pays. Lorsque lun de ces cantons, le
plus grand, sous la conduite dun homme politique très insuffisamment
doté
desprit de finesse, joue les éléphants dans un magasin de porcelaine, il
faut mettre le holà.» (Edicom)
Note: Je pense que nous tous les Francophones nous devons former une diaspora
unie et déterminée car c’est la seule façon de l’emporter contre les
dinosaures saxons.
La division en pays et en clans ne sert qu’à nous empêcher de gagner : un
pour tous, tous pour un. Tel devrait être la devise des Francophones du monde
entier.
Notre determination doit augmenter en constance car c’est la continuité qui
finit par faire craquer toutes les barrières, comme les champignons qui
brisent le macadam.
C.Rifat
Cest comme en escrime, "ladversaire avance, vous le laissez avancer
et
cest lui qui sembroche"
Dumas
Si tu te fais ver de terre, ne te surprend pas si on t’écrase avec le pied !
Notre correspondant,
cyrano@aqua.ocn.ne.jp
(Le 20 juin 2001)