Nous aider à « Oser le français » et secouer l’apathie des Français
Urgence de la lutte contre l’anglo-américain.
Cinq associations françaises ont constitué le collectif « Oser le français », décidé à entreprendre des actions pugnaces.
Le 17 juin (nous aurions voulu le 18, anniversaire de l’appel de Londres du Général de Gaulle, mais il tombe un dimanche, et demander à un journaliste de sacrifier “son” dimanche pour une cause non existentielle (d’après les membres de cette caste) serait stupide), le 17 juin donc nous posterons 7 à 9 groupes de 3-4 personnes sur des sites emblématiques d’une forme de résistance. Notamment, à Paris, la statue de Jeanne d’Arc, la tombe de Stéphane Hessel (auteur d’ “Indignez-vous”, près d’un million d’exemplaires), le Mont Valérien (lieu sacré de la résistance) ; ailleurs un mémorial à Jean Moulin, le site de Gergovie (première victoire de cette Gaule future France) …
Il s’agit d’attirer l’attention de la presse sur des lieux chargés d’émotion – puisque les Français n’ont pas la raison de comprendre l’urgence de la lutte contre l’anglo-américain. Et, en prime, nous leur offrons de l’ “image” : un lieu emblématique, et devant ce lieu 3 ou 4 personnes (dont au moins 1 moins de 35 ans) revêtues de ticheurtes estampillés « Oser le français », un drapeau de la Francophonie à la main. Bien entendu la presse aura été prévenue bien à l’avance.
Vous pourriez nous apporter un IMMENSE coup de main : il s’agirait de trouver 3 à 4 personnes, revêtues du même ticheurte et drapeau à la main, posant, le 17 juin, devant la mairie de Montréal. Le dossier de presse pourrait alors évoquer ce fameux « Vive le Québec libre » prononcé au balcon de la mairie par De Gaulle. (Nous enverrions évidemment les ticheurtes, et éventuellement le drapeau).
La chose vous paraît-elle envisageable ? Bien entendu nous sommes prêts à vous apporter toute précision nécessaire.
Merci de vouloir bien nous répondre à o-d-l@orange.fr.
Et si possible nous apporter un concours si précieux, de nature à secouer l’apathie des Français en leur rafraîchissant la mémoire.
Louis Maisonneuve