Impératif français, un mouvement national et international
Le communiqué venant d’être publié par nos frères de lutte d’Impératif français, nous montre la voie à suivre chez nous, en France même. Les demandes de départ volontaire ou de congédiement qu’il contient, ont également été formulées au Québec par de nombreuses personnalités politiques de premier plan. Les Québécois savent comment s’y prendre…
EN FRANCE, ainsi que dans la partie européenne, culturellement sinistrée et sans repères, du monde francophone, nous ne devons plus hésiter lors des prochains communiqués que nous émettront à demander clairement et explicitement le licenciement, ou au minimum des sanctions disciplinaires, contre les responsables de la marginalisation de notre langue en France, de la destruction de son statut de langue internationale, et de l’affaiblissement de notre pays et de l’ensemble des pays et peuples francophones du monde.
Notre longue expérience nous permet d’affirmer, hélas, que toute demande privilégiant « les bonnes manières diplomatiques », « la sensibilisation »,… ne mènera absolument à rien. A l’inverse, toute demande appelant clairement à evincer ces individus peu fréquentables, haineux de la France, de sa langue et de sa culture, laissera des traces, soyez-en certains. Et peu importe la fonction qui est la leur…
Sachez enfin que je fais, de mon côté, ma part du travail (…).
Ne lâchons rien, ne cédons jamais.
Ilyes Zouari