Pour régler la question de l’accès aux cégeps anglophones et le niveau de financement de ceux-ci, le gouvernement du Québec devrait fixer définitivement le nombre de places disponibles dans ces institutions au prorata de la population anglophone du Québec et les soutenir en conséquence.
Les étudiants francophones, allophones ou immigrants pourraient avoir accès à ces cégeps en autant qu’on nombre équivalent d’étudiants anglophones s’inscrivent dans un cégep francophone. Cette solution pourrait inciter les autres provinces du Canada à faire de même pour leurs établissements d’enseignement francophones.
Benoît Bouffard, Lévis