De: « J.-L. G. » <leperegrin@yahoo.ca>
Date: 27 décembre 2020 à 13:30:43 HNE
À: France-Isabelle Langlois direction@amnistie.ca, finance
Lettre ouverte à Amnistie internationale – Québec
Objet :
Actuelle campagne de fonds d’Amnistie internationale – Québec
(notamment sur le site du journal Le Devoir)
J’ai souvent, très souvent, fait des dons, dans ma vie, à Amnistie internationale.
Car cette Institution doit rencontrer des problèmes criants, et pour tout dire insoutenables, tout autour de la Planète – au sein d’une Humanité présumée civilisée.
Or, compte tenu de l’extraordinaire dérapage idéologique de AI-Québec, par le biais de son actuelle directrice, laquelle préfère s’acharner sur la Loi 21 (adoptée dans un cadre politique et social on ne peut plus démocratique) plutôt que de prendre toute la mesure de problèmes franchement terribles en ce qui regarde les droits humains, en maint pays, je dois aujourd’hui déclarer (sinon rappeler), à mon corps défendant, qu’il ne m’est plus du tout possible désormais de contribuer en quelque manière à cet Organisme.
J’ai même annulé il y a quelque temps les dispositions légales prévoyant, à mon décès, d’abandonner l’essentiel de mes avoirs à cette Maison.
Qui a hélas totalement égaré le sens fondamental de sa mission.
Cet amalgame, pour ne pas dire agglomérat d’inculture, d’aveuglement idéologique et d’indigence intellectuelle qui sévit à la direction québécoise d’Amnistie internationale (mais également au sein de l’équipe en place : qui appuie, ou explicitement ou par abstention, voire initie ces politiques stupéfiantes*) déshonore irrémédiablement un Organisme jusque-là de haute et noble réputation.
Aussi, tant que cette Institution n’aura pas fait amende honorable publiquement en ce qui regarde ses errances, et notamment en remerciant définitivement l’actuelle directrice générale des lieux, madame France-Isabelle Langlois, ainsi que le président du Conseil d’administration, monsieur Julien Silvestre, et ce, sans détour et dans les plus brefs délais, il est hors de question, pour ma part, que je reconduise appui et patronage auprès de ces gens qui discréditent jusqu’en son fondement le concept même du généreux projet d’Amnistie Internationale.
Lesquels individus, très manifestement, ne possèdent ni les compétences ni le jugement pour occuper leurs fonctions respectives.
Jean-Luc Gouin
Québec