Comment vous féliciter pour votre empressement à faire du français le patois d’une république où l’anglo-américain cogne le regard et l’ouïe où que l’on se tourne, et ceci au grand bonheur de toute une nation béate d’admiration devant ces chimères saxonnes qui viennent pourtant lui ravir ce qu’elle avait de plus cher, à savoir sa langue.
Philippe Carron
Suisse romande