Au-delà du politiquement correct “vivre ensemble” à la française, voilà la langue de nos élites en herbe de “Sciences Po”.
Le français bouté hors de France par ceux qui devraient le défendre et l’illustrer pour reprendre une une expression de nos poètes de la Renaissance.
Les temps sont loin où la langue avait de la valeur et du sens. La nation, le patrimoine, les racines sont des notions du passé.
Une « anglo-américanomanie » galopante.
Jean-Claude CHARVOZ
Institut Lyonnais