Les universités anglophones du Québec défrancisent le Québec. Un autre exemple!
Il y a une catégorie d’immigrants qui passe sous silence : les étudiants qui décident de rester au Québec après l’obtention de leur diplôme.
Or, pour les programmes en génie de McGill et Concordia, on n’exige pas la connaissance du français pour terminer ses études, alors qu’elle est obligatoire pour devenir membre de l’ordre des ingénieurs du Québec (OIQ).
À l’Université de Laval et l’Université de Sherbrooke, la connaissance de l’anglais est obligatoire pour obtenir son bac en ingénierie.
Dans les universités francophones, les étudiants étrangers des 2e et 3e cycles qui ne connaissent pas le français mettent une pression pour l’offre de cours en anglais et l’organisation de séminaires en anglais. Or, s’ils veulent immigrer au Québec, que feront-ils à la fin de leurs études?
Dominique Beaulieu