L’entreprise de transport ferroviaire CN aurait dû traduire son nom depuis longtemps pour se conformer à la loi 101 du Québec et s’appeler en français le National canadien, les adjectifs exprimant une qualité objective (telle la nationalité) devant être postposés.
Je me souviens que M. Jean-Marc Poliquin, ancien journaliste au journal Le Droit et correspondant pour Radio-Canada, défendait cette idée à la fin des années 1970.
Publié le 18 novembre 2014 à 11h45 | Mis à jour le 18 novembre 2014 à 22h22 Pont de Québec: le CN frustré des attaques contre lui Annie Morin Le Soleil
(Québec) Dans sa réponse aux élus québécois qui lui demandent de « prendre ses responsabilités » et de repeindre le pont de Québec, le président-directeur général du CN, Claude Mongeau, apparaît frustré des attaques contre son entreprise relayées par les médias.
Benoît Bouffard