C’est une plainte contre l’établissement dont les coordonnées figurent sur la pièce jointe. Elle est grave par le comportement que ces gens ont eu envers moi.
Généralement lorsque je remarque un comportement inadéquat concernant la langue française de la part d’un certain établissement, ma première démarche je la fais auprès de la personne la plus en autorité de l’établissement en question. Et c’est ce qui s’était passé il y a environ deux ou trois ans et j’avais obtenu une certaine amélioration de la situation. Mais dernièrement j’avais remarqué une nette détérioration de la situation.
Le 2013-10-07 lorsque j’ai fait un achat j’ai remarqué des comportements inadéquats; les employés m’abordent en anglais, ils se parlent en anglais à mon sujet, etc. J’ai donc demandé à parler au gérant du magasin. La personne qui s’était présentée à moi n’était pas le gérant du magasin, mais le ‘gérant d’un certain département’ prénommé ‘Jonathan’. Il m’avait donné la carte du gérant du magasin, mais loin de m’accueillir dans un bureau il s’apprêtait à me parler là devant tout le monde. Lorsque j’ai demandé à m’asseoir, il m’a offert une chaise toujours en dehors d’un bureau. Et bien sûr il défendait la position des employés.
Je n’ai pas eu le temps d’appeler le gérant du magasin, mais lorsque le 2 novembre je suis allé au magasin, j’ai demandé s’il était là. Dans la négative la personne à l’accueil voulait connaître la raison et je ne la lui ai pas donnée.
M’étant avancé dans le magasin j’ai été abordé en anglais par un employé et, lorsque je m’apprêtais à lui faire ma remontrance, DEUX gérants se sont pointés (signe que l’employée de l’accueil les avait avisés). L’un d’eux s’appelait Louis Mackenzie et l’autre était le ‘fameux Jonathan’. Louis Mackenzie m’a dit qu’il avait ‘eu vent’ que je prenais du temps des employés et il me le reprochait. Comme j’avais dans mes mains une petite enregistreuse audio, il m’a dit que désormais j’était indésirable et il m’a dit de quitter les lieux.
Donc il est clair que dans cet établissement si un client a le malheur d’exiger le respect de la loi il est vu comme un empêcheur de tourner en rond et on lui montre la porte. Il est aussi très évident que dans une très grande proportion les clients francophones acceptent l’inacceptable et ne se plaignent pas, donc celui qui le fait est malvenu. Et on lui montre la porte.
CETTE SITUATION DOIT ÊTRE CORRIGÉE.
Pierre Biacchi
Notre-Dame-de-l’île-Perrot