Quotidien Le Devoir
Montréal, Québec
Att. : bdescoteaux@ledevoir.com, redaction@ledevoir.com et mleclerc@ledevoir.com
Bonjour,
Je constate une fois de plus, depuis 48 heures (voir pièces jointes saisies à l’instant depuis la page numérique suivante : http://www.ledevoir.com/galeries-photos/les-caricatures-de-garnotte), que vous acceptez les publicités bilingues de Rogers dans les pages du Devoir.com
Allez-vous vous moquer encore bien longtemps de vos lecteurs avec des affronts pareils ???
Rogers s’affiche en anglais, and in english only, dans les médias anglophones. Aussi est-ce de sa part faire preuve d’une formidable arrogance, ainsi que d’un mépris non dissimulé de la langue française, que d’enfoncer de la sorte ses publicités obstinément bilingues dans la gorge des Québécois.
Ce n’est pas la première fois que je formule ce commentaire auprès de la direction du Devoir.
Et je ne comprends pas du tout qu’il faille récidiver.
Y a-t-il à la fin un pilote dans le vaisseau…?
Merci.
Jean-Luc Gouin,
Québec, vendredi le 1er Février 2013
Appoint : Permettez-moi, sur le même sujet, de renvoyer également à ce qui suit : https://www.imperatif-francais.org/bienvenu/articles/2013/rogers-roule-le-devoir-dans-la-farine.html, https://www.imperatif-francais.org/bienvenu/a-vous-la-parole/2013/un-devoir-bilingue.html et https://www.imperatif-francais.org/bienvenu/a-vous-la-parole/2013/rogers-ou-le-formidable-mepris-de-la-langue-francaise.html
Décidément, ou Le Devoir s’en fiche, ou bien c’est Rogers qui se fiche du Devoir. Reste que le lecteur, lui, c’est Le Devoir qu’il visite. Non Rogers ! C’est donc Le Devoir, je ne vous apprends rien, n’est-ce pas, qui est imputable face à ses lecteurs. Reste qu’un tel laisser-aller entache sérieusement la réputation du journal. Et c’est bien dommage.