Au Festival d’été de Québec, il serait un « fardeau » que « de présenter de la musique francophone » :
De surcroît, « la chanson française ne semble pas être la voie d’avenir » :
http://www.vigile.net/Cessons-de-financer-le-Festival-d
Ceux qui le dirent n’étaient pas des « maudits anglophones » ni des « sales immigrés » mais bien des francophones responsables du festival. Et ça eut lieu non pas à Montréal (souvent pointée du doigt pour son degré d’anglicisation) mais à Québec (objet de louanges pour sa prétendue pureté française).
Scott Horne