Le Comité Permanent des Langues Officielles choisissait de ne pas entendre le
mémoire soumis par le seul citoyen et média franco- olombien suffisamment motivé
pour assister à la rencontre tenue récemment à Vancouver. Rappelons que c’était
la première fois en 25 ans que le Comité visitait l’Ouest canadien pour voir
"sur place" ce qui s’y passait.
Le greffier du Comité a invoqué la raison que le mémoire devait être traduit
à l’anglais avant d’être distribué aux membres du Comité… Le Comité a préféré
entendre les porte-parole des organismes de lobby dont le financement dépend en
grande partie de ce Comité.
Faut-il expliquer davantage pourquoi les francophones vivant en situation
minoritaire se retrouvent dans leur état actuel?
Le mémoire d’un média-citoyen:
http://lecanardreincarne.freesoul.ca/content.php?article.106
Réjean Beaulieu, Vancouver
rejean.beaulieu@shaw.ca
(Le 17 décembre 2006)