Objet : Le Canada anglicise la Francophonie internationale
LE CANADA ANGLICISE LA FRANCOPHONIE INTERNATIONALE
Monsieur Pierre Pettigrew
Ministre des Affaires étrangères du Canada
Monsieur le ministre,
Il est inconcevable que des ambassades de pays faisant partie de la
Francophonie internationale n’ait pas un site web adéquat aujourd’hui, en 2004.
Prenons l’égypte, par exemple, qui a prêté M. Boutros Boutros Ghali en tant que
dg et ce pays traîne de la patte.
Comment peut-on accepter un pays dans une organisation s’il ne remplit pas
les critères, à moins que ce ne soit qu’une organisation qui permet le commerce.
Personnellement, je croyais que l’organisation de la Francophonie était le
véhicule de la langue et de la culture française à travers les pays membres.
M. Pettigrew, en tant que ministre des des Affaires étrangères, pourriez-vous
m’informer des critères qu’il faut respecter pour être membre de la
Francophonie. Si les critères ne sont pas arrêtés, pourriez-vous en formuler et
les faire appliquer?
MM les ambassadeurs des pays cités ici, pourriez-vous aimer suffisamment
l’organisation de la Francophonie qui vous a ouvert les bras pour vous conformer
à une des plus fondamentales règles, celle de pouvoir communiquer en français
sur un site web et avoir du personnel qui puisse comprendre et se faire
comprendre des tenants de cette magnifique langue?
Georges-Henri Huard, Rimouski, Québec
georgeshenri2000@yahoo.fr
Cc : ottawa@slovakembassy.ca;
ottawa@polishembassy.ca;
info@lebanonembassy.ca;
cetech@cetech.ca;
oif@francophonie.org
(Le 24 août 2004)